Pour en revenir à l’aventure de Spirou, voici une explication extraite de l’intégrale N°8 1961-67 (éditions Dupuis, 2009)
Tous les intervenants cités étant décédés (hélas…), il est à craindre que la cause réelle de ce changement en cours de route restera un mystère !
Comment peut-on brouiller l’écoute avec une panne de micro!?
Au sens contrepétrique bien sûr. 
Bé oui: c’ était pour en faire une « double » 
A +.
On en apprend tous les jours! il y a donc des micros qui ont une panne qui peut brouiller l’écoute! 
12 ans ont passé depuis le début de cette discussion !
Qu’est-ce que le temps a vite passé !
Dingue !!!
Bonjour Thierry,
J’ai cette intégrale (et les autres) aussi. J’ai été fidèle lecteur du journal de Spirou depuis la fin des N° 900 (1956) jusqu’au début des années 90 (avant le n° 3000 paru en 95). Et j’ai encore tous ces N° (à part qq trous au début des 1000); donc environ 1800 N°! Et j’en relis encore de temps en temps.
Dans l’explication donnée ci-dessus, il y a une erreur et une carabistouille.
Tout au début de l’histoire, il n’y avait pas de titre et la tronche de Zorglub apparaissait dans le bandeau titre car Franquin pensait dessiner une 3ème histoire avec Zorglub.
Lors de la reprise de l’histoire, QRM a été remplacé par QRN.
L’explication qui en est donnée dans l’ntégrale n’a aucun sens, puisque QRM et QRN ne sont pas des indicatifs, mais des codes.
Selon une autre explication, des radioamateurs auraient fait remarquer à Franquin que QRM ne convenait pas et qu’il fallait utiliser QRN. Bizarre!
Dans l’histoire, les communications entre Le radioamateur Switch le le roi Ladislas de Bretzelburg sont brouillées par un petit récepteur de radio qui s’est accidentellement transformé en émetteur Ondes courtes; ce qui est bien du QRM.
QRN se rapporte à du brouillage par des parasites d’origines naturelles:
Il me semble que c’est venu plus tard !?
Les idées noires datent de la fin des années 70 - début années 80, soit pas loin de 20 ans après la création de l’histoire dont on parle dans ce sujet…
Quand aux intégrales, je n’ai fait que montrer ici ce qui y est écrit. Ce sont des spécialistes de la BD qui ont rédigé ces textes, et sans doute pas experts en radioamateurisme… Ce qui n’enlève rien à la qualité générale de ces intégrales, d’ailleurs. Ces erreurs n’ont probablement choqué quasiment aucun lecteur !
Oui, bien sûr et c’est comme ça que j’avais vu les choses. Mais ce que disent Greg et Yvan Delporte à propos des indicatifs se terminant par N, est plutôt bizarre; je me demande où ils ont été cherché ça. De toute façon, on ne le saura sans doute jamais.
Et tout ça n’enlève rien à la qualité de cette BD.
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