Nouvelles de l'espace - ESA et NASA et consorts

Bien entendu, je ne remets en aucun cas en cause la recherche spatiale. Et je partage parfaitement Claude tes idées sur ce sujet.

Seulement ici, sur ce cas précis, je pense qu'on aurait pu se passer de mobiliser autant de moyens sachant que tout ce qu'on pouvait obtenir de ces engins, y compris la station en orbite, ne pouvait que donner des résultats qu'on possède déjà, tant l'avance américaine en ce domaine est énorme. Et la NASA a l'habitude de partager largement ses données avec la communauté scientifique.

En revanche, je pense qu'il aurait été intéressant de faire atterrir le machin à proximité d'Opportunity, le rover de la NASA. On aurait pu ainsi assister à l'atterrissage du module en direct, (ou plutot en léger différé, vu le temps mis par les ondes pour parvenir sur la Terre). De plus, en cas d'échec, le rover aurait pu aller jeter un coup d'oeil sur le module pour voir ce qui n'allait pas. Mais je suppose que la collaboration inter-états n'est pas encore à ce point efficiente pour permettre une telle chose.

Autant la sonde Rosetta, malgré son demi-succès (ou demi-échec pour les ronchons), a été je pense hyper utile, ne serait-ce que pour nous avoir envoyé de magnifiques photos de l'astre chevelu, objet dans le passé de tant de fantasmes. En effet, grâce à cette sonde, on sait désormais à quoi ressemble la surface d'une comète dans le moindre détail. Mais mobiliser de gros moyens logistiques pour envoyer un machin sourd et aveugle sur la 4e planète juste pour tester l'atterrissage, on aurait pu faire ça à meilleur escient sur la Terre.

Excellent après-midi à tous

 

Dakota a écrit :

 Et la NASA a l'habitude de partager largement ses données avec la communauté scientifique.
Tout à fait , et Boeing ne nous empêche pas de voyager dans ses avions , celà n'  pas empêché de créer le consortium " Airbus " qui a été et reste un succès  Ange 
il ne s' agit donc pas d' acquérir ou de partager des infosdisponibles par ailleurs , mais d'acquérir une technologie  et un " savoir faire " Clin
 

En revanche, je pense qu'il aurait été intéressant de faire atterrir le machin à proximité d'Opportunity, le rover de la NASA. On aurait pu ainsi assister à l'atterrissage du module en direct, (ou plutot en léger différé, vu le temps mis par les ondes pour parvenir sur la Terre). De plus, en cas d'échec, le rover aurait pu aller jeter un coup d'oeil sur le module pour voir ce qui n'allait pas.

Vla que fut une bonne idée ou suggestion  Mais fallait l' écrire pour le suggérer il ya env un an à l' ESA ... maintenant il est trop tard !

Mais je suppose que la collaboration inter-états n'est pas encore à ce point efficiente pour permettre une telle chose.

oui et non .. voir les rdv MIR ou Soyouz avec les capsules Apollo il y a qqs années

Schiaparelli ne répond plus ! Pleure

Les dernières nouvelles , en détail , mais en anglais …pour le moment

http://www.esa.int/Our_Activities/Space_Science/ExoMars/Mars_Reconnaissance_Orbiter_views_Schiaparelli_landing_site

une brêve en français

De Profundis ! Larme

 

Vivez le décollage de Thomas Pesquet sur écran géant à La Géode

A l’occasion du décollage de l’astronaute français de l’ESA Thomas Pesquet vers la Station spatiale internationale, le CNES et l’ESA, avec le soutien d’Universcience, vous proposent de vivre en direct cette formidable aventure à La Géode le 17 novembre à partir de 19h00.

Les « Sept pionniers » des programmes spatiaux tous décédés

Avec la disparition de John Glenn jeudi, à l’âge de 95 ans, les sept premiers astronautes américains choisis pour le programme spatial pionnier en 1959 sont à présent tous décédés, mettant fin à un chapitre glorieux de l’histoire américaine.

http://www.boursorama.com/actualites/les-sept-pionniers-des-programmes-spatiaux-tous-decedes-a8bf72d18f0bd47904d7943dc59fbb8b

16-06-2017 12:06 PM CEST

Le 52e Salon international de l’aéronautique et de l’espace (Paris - Le Bourget) a ouvert ses portes ce lundi 19 juin.

Suivez en direct une partie des présentations qui se dérouleront du 19 au 25 juin.

Pendant toute cette semaine, l’ESA présentera les ambitieuses missions européennes dans tous les domaines spatiaux, et mettra en particulier à l’honneur les succès récents et les projets à venir.

50 ans après Apollo , c’ est reparti pour faire un tour de le lune fin 2019 - printemps 2020 ! Pom-pom

traduction Google presque " brute " avec seulement quelques petites corrections Clin

Orion avec le module de service européen

9 novembre 2017

Le vaisseau spatial Orion de la NASA vise à envoyer les humains plus loin dans l’espace que jamais auparavant, et le module de service européen de l’ESA fournira l’essentiel pour garder les astronautes en vie et sur la bonne voie.

Un examen du programme par la NASA pour évaluer les progrès montre maintenant une date de lancement de décembre 2019 à juin 2020.

La première mission d’exploration-1 contournerara la Lune sans astronautes à bord pour poser les bases et prouver la technologie pour une deuxième mission avec équipage.

À Brême, en Allemagne, l’intégration du module de service est bien engagée, les travaux démarrant déjà sur le second.

Plus de 11 km de câbles sont posés et connectés pour envoyer les mégaoctets d’informations des panneaux solaires, des systèmes d’alimentation en carburant, des moteurs et des alimentations en air et en eau aux ordinateurs centraux du module.

Récemment, les 24 propulseurs d’orientation de l’Orion ont été installés, complétant ainsi les huit plus gros moteurs qui vont sauvegarder le moteur principal déjà en place.

La conception complexe du module nécessite 1100 soudures pour le système de propulsion seul, avec seulement 173 à compléter.

Module de service européen

Les équipes de Brême à la salle d’intégration d’Airbus sont en poste de travail de huit heures pour continuer à travailler 24 heures sur 24, en vue de l’envoi du module achevé aux États-Unis à l’été 2018.

Il sera envoyé au centre spatial Kennedy de la NASA en Floride, où il sera combiné avec le module d’équipage avant d’être transféré à la station Plum Brook de la NASA pour des tests approfondis afin de s’assurer qu’ils sont prêts pour le lancement et le voyage dans l’espace.

Le module de service est basé sur la technologie des véhicules de transfert automatisés éprouvés de l’ESA qui ont été envoyés à la Station spatiale internationale dans le cadre de cinq missions. Pour Orion, le design est plus complexe avec plus de systèmes, mais la technologie qui l’accompagne a été miniaturisée pour s’intégrer dans la structure plus petite d’Orion.

David Parker, directeur des vols spatiaux habités et de l’exploration robotique de l’ESA, a déclaré: «Le module spatial et de service d’Orion est une coopération internationale inspirante à la pointe de la technologie et de l’exploration de l’humanité. Toutes les équipes impliquées sont justement fières de faire partie d’un projet aussi complexe et important. "

Bonjour,

C'est un petit tour de Lune sans équipage qui est prévu vers 2020 ainsi on peut espérer un vol habité sur la Lune juste avant les jeux olympiques.Orion c'était aussi le nom de la navette spatiale dans 2001 l'Odyssée de l'Espace.

Merci Claude pour ces excellentes nouvelles de l'espace.

Patrick.

Alors , tu te remets à l' heure ? bon sang d' bois !  Informatique de #@£

La Californie en feu !

Photo prise le 5 décembre par le satellie Copernicus Sentinel-2 Horreur

Alors que des centaines de pompiers combattent les incendies, plus de 200 000 personnes ont été forcées de quitter leur maison.

Selon le Département des forêts et de la protection contre les incendies de la Californie, la saison des feux de forêt en Californie en 2017 est la pire jamais enregistrée.

L’image montre l’étendue de la dévastation causée par ce dernier affleurement de feux de forêt, qui sont si grands qu’ils ont reçu des noms.

Le pire, connu sous le nom de " Thomas Fire " , engloutit presque toute la ville d’Ojai et une zone au nord de Ventura, vue ici à l’extrême gauche de l’image. L’image montre également deux autres séries de grands feux: le feu de seigle près de Santa Clarita (le feu du milieu) et le feu de ruisseau près de Sylmar (à droite).

Le pas de tir d’ Ariane 6 en construction!

Le programme de veille des astéroïdes de la NASA a annoncé le passage près de la Terre d’un astéroïde de sept mètres de large ce vendredi. Le météore, baptisé 2018 DV1 par les scientifiques, passera à 113 000 kilomètres de notre planète. Les scientifiques excluent tout risque de collision.

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Un astéroïde a frôlé la terre ce mercredi matin ainsi que le rapporte la NASA. Ses dimensions sont telles qu’il fait près de trois fois la taille d’un terrain de football.

La planète bleue et ceux qui l’habitent n’ont toutefois pas eu grand-chose à craindre puisque l’astéroïde est passé à environ 1,4 million de kilomètres de la Terre. En revanche, sa taille avait de quoi impressionner, puisqu il est presque équivalent à l’Empire State Building, soit près de trois terrains de football. Il est passé au plus près de notre planète aux alentours de 8h53, heure de Paris.

OUF , encore un d’ évité !

Bonjour à tous

Stepen Hawkins… il était aussi l’ espace …

http://www.medisite.fr/revue-du-web-quest-ce-que-la-maladie-de-charcot-dont-etait-atteint-stephen-hawking.4928927.41633.html?xtor=EPR-55-[Medisite_Alerte_Infos]-20180314-[testA]&tgu=Mqwge8

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Les images à couper le souffle du satellite SDO de la NASA (vidéo)

A l’occasion des 5 ans de son satellite Solar Dynamics Observatory (SDO), la NASA

a dévoilé une vidéo du soleil exceptionnelle, à voir absolument.

Solar Dynamics Observatory (SDO) est un satellite d’observation du soleil, lancé par la NASA

le 11 février 2010. Sa mission est de transmettre des informations sur Terre dans le but de mieux

connaitre le Soleil et notamment son champ magnétique.

Grâce a ses instruments, ce laboratoire spatial est capable d’enregistrer des images d’une

résolution native de 4096x4096 pixels avec différents traitements.

La vidéo publiée par la NASA a été réalisée grâce à 200 millions d’images représentant 2600

Terra-octets de données enregistrées tout au long des 1826 jours que le satellite observe notre étoile…

Cette vidéo, offerte au domaine publique par la NASA, est téléchargeable dans différents formats

(y compris full HD) à l’adresse :

La vidéo a été tournée en partie quand Vénus est passée entre le Soleil et la Terre.

Le petit « machin noir » qui passe de temps en temps en haut de l’écran, c’est Vénus.

- Quand on voit des grands bras de matière qui s’échappent du soleil, il s’agit de photos prises à une longueur

d’onde unique, donc du suivi de matière qui rayonne à cette couleur depuis le « disque » jusque dans l’espace

avec retour un peu plus loin, des sortes de ponts à 20 millions de degrés.

- Quand on voit le disque seul avec des taches, il s’agit de photos prises dans un domaine de longueur d’onde

très large, donc de la matière qui rayonne dans toutes ces couleurs. Elle constitue le « disque », à la température

la plus froide, 6 000 degrés. On ne voit pas les bras cités plus haut, car ils sont moins lumineux que le fond d’image.

- Les autres images du Soleil sont prises à d’autres longueurs d’onde, rayons X notamment, d’où cette allure crevassée.

  • Fabuleux… Mieux que l’éclipse !

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L’orbiteur d’ExoMars commencera bientôt sa recherche de gaz pouvant être liés à une activité géologique ou biologique active sur la planète rouge.

Le Trace Gas Orbiter a atteint son orbite finale après une année de «aérobarking» qui s’est terminée en février. Cette opération passionnante a vu l’engin raser la haute atmosphère, utilisant la traînée sur ses ailes solaires pour transformer son orbite initiale de quatre jours de 200 x 98 000 km en trajectoire finale, beaucoup plus basse et presque circulaire. à environ 400 km.

Il fait maintenant le tour de Mars toutes les deux heures et, après l’étalonnage et l’installation du nouveau logiciel, il commencera les observations scientifiques de routine.

J’avais pas encore vu cette video sur le soleil ! Ces images animées sont vraiment d’une beauté stupéfiante.
Je vais voir Mars, mais ça semble moins excitant.
Merci Caude pour ces videos