LE COIN de LA GALENE

galene-super-selectif-3.jpgDemad eins ,
Ce titre se retrouvait souvent dans les magasines à partir des années 20 on y voyait aussi le titre « Le coin des galéneux » les anciens s’en souviennent , ce moyen de réception le plus simple , le plus facile a construire et le plus abordable .
Des millions de modèles ont été ^produits dans tous les pays , seuls ces appareils apportèrent dès le début des émissions le moyen de les écouter , le nombre de postes de toute puissance s’étant énormément accru , cette technique manifesta la limite de ses possibilités ,je veux parler de son absence de sélectivité .
Voici un modèle publié dans une revue de 1930 .

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Oui mais … si on analyse un peu le schema , on voit qu’il est digne du Haut Parleur … la selectivité consiste uniquement supprimer l’emetteur de la Tour Eiffel :mrgreen:

Demad eins .
Ou une autre fréquence .

On pourrait presque faire le jeu des 7erreurs !

Demad eins ,
Il y a évidemment mieux en sélectivité , mais hors de prix et plus difficile a réaliser , voir les récepteurs Marconi utilisés sur les bateaux en 1912 .

Il faut simplement chercher les erreurs de ce schema :mrgreen:

Autant le redessiner de A à Z ! Cet article a dû paraître un 1er avril…

Demad eins ,
Alors ! un autre schéma peut-être :question:

Quand en rase campagne, avec une antenne de 100 m, on pouvait capter 2 ou 3 stations, tout au plus, le problème de la sélectivité ne se posait pas !

Allez installer une antenne de 100 m en ville…même en 1930.

Amitiés à tous
Jean-Pierre

Bonjour

Dans les années 70 on trouvait des poste a cristal avec diode germanium.
C’était séduisant car ils ne necessitaient pas de pile et les piles c’était un budget non négligeable à l’époque.
J’ai eu celui de Cibot Radio avec noyau plongeur décrit dans la doc jointe, construit dans une boite de cigares bien sûr.
A l’époque j’étais au nord de Lyon. Je recevais de façon audible, en PO de jour uniquement Lyon Tramoyes ( France Inter ), de nuit quelques emetteurs français et en GO uniquement Allouis et RMC. L’antenne était un fil vertical qui pendouillait dans le vide depuis le 7ème étage. A l’époque il y avait peu de parasites à part les « meules » des ados du quartier. C’était l’extase mais la sensibilité était faible.

Je l’ai ressorti vers 2000 en région parisienne ( sud 92 ). Sur GO signaux inaudibles à causes des parasites ( réseau SNCF banlieue proche ), en PO l’émetteur de Villebon ( 91 ) arrivait sur toute la bande et couvrait le reste, l’antenne était un fil de 10 m et une terre prise sur la conduite d’eau. Résultats décevants, la selectivité était une catastrophe.!

En résumé, c’était magique à 15 ans, c’était m…dique passé la quarantaine.
Cdlt

r92
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Ah ! Le fameux bloc G-56 des années 50…

J’en ai encore un qui traîne dans un coin !

Amitiés à tous
Jean-Pierre

Bonjour les jeunes . Un poste sélectif ca existe ,il suffit de prendre exemple sur le piano Duvivier

Dans Toute la radio alors que j’étais encore a culottes courtes, il y avait une ou deux pages réservées a la technique étrangère…D
Dans cette revue, j’y ai vu un récepteur russe à diode original …il y avait deux antennes dont une , un long fil était accordé sur un émetteur local puissant…Qui assurait l’alimentation d’un autre récepteur a diode ET 1 transistor!
A cette époque de notre jeunesse UN transistor coutait…28 Francs pour haute frequence…Holala. plus de 4 euros
ma tirelire en prenait un sale coup. L’article assurait une écoute très puissante sur écouteur de 2000 ohms …Sans besoin de pile.Je rêvais déjà d’en construire un… Mais ne l’ai jamais fabriqué car je me suis lancé direct dans la fabrication de récepteur à super réaction pour faire un bateau radiocommandé… Ha les fameux mandrins "Lipa"et leurs noyaux qui s’effritaient dès l’approche d’un tournevis…
Bon je m’égare, ici c’est la galène…A la recherche du point sensible…