Tableau d'appel acajou vers 1910 aide fonctionnement ?

Bonjour,

En fait chaque bouton ferme un circuit série qui comporte la bobine de d’apoel et la bobine de la sonnerie avec la batterie de piles.

Le bouton de reset mets le courant sur les bobines de reset du tableau d’appel qui font basculer tous les voyants en position initiale.

Ce genre de tableau d’appel existe aussi avec une seule bobine par voyant et un reset mécanique par tringlerie.

Bonjour,
En voyant la signature de JCJ je suis allé , immédiatement, consulter l’annonce pour y retrouver cet objet voué à la decoration.
Je reconnais 6 bascules RS excitées par un bouton poussoir et un bouton raz général. une sonnerie si l’une des bascules est activée.
Nous sommes complètement dans de la logique.
cet ensemble fonctionne par impulsion aussi ne pas insister sinon la bobine brulera…
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je vais me lancer avec mon indicateur à guichets
Merci
Sylvain
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Il va de soit que cela ne fonctionne que durant le coup de sonette, mais même en sonnant durant une heure en comtinu, je doute beaucoup que le courant des piles d’époque puisse faire griller une bobine …

Bonjour !

Merci beaucoup pour les informations et les documents ! Je vais regarder tout cela de près, et effectivement le moyen de limiter le courant avec une pile moderne.

Avez-vous une idée du courant à prévoir au maximum pour ce genre de bobine ?

Si j’ai bien compris, la tension prévue pour ce type de bobines était de 6 V.
Je dirais comme cela que les fil sont en 1/10eme de mm2 mais sans certitude, ne connaissant pas les standards (!) de l’époque.
Il faudrait donc (en l’absence de longueur de câblage dont la résistance sera supposée nulle) à raison de 6A par mm2 (je crois le calcul actuel pour le cuivre ??), ne pas dépasser 600 mA ?, donc une résistance de 10 à 30 ohms

De la même façon (plus simple pour l’encombrement) mettre une pile de 1,5 V (si cela suffit à faire basculer les bobines), et quelques ohms pour la résistance ?

Nicolas

bonjour

les piles de 6V de l’époque ont quelle résistance interne ???

ensuite en déduire la résistance à mettre en série avec les piles moderne :slight_smile:

Bonjour à tous !

J’ai complètement rénové et remis en état l’appareil (en intégrant la batterie de 6 V et sa résistance et des boutons poussoirs), je posterai bientôt des photos du résultat final, mais il me reste un problème ENNUYEUX.

En appuyant sur un des 3 interrupteurs, le rond apparait bien au guichet MAIS N’Y RESTE PAS et revient au centre (entre blanc et rond).

Pour moi, l’aiguille devait rester collée à la bobine (par aimantation (bout de l’aguille aimantée ??) si j’en crois un document ancien que j’ai lu sur ces tableaux annonciateurs (version chic du nom) ; et seulement revenir à l’oposé dans le blanc lors de la mise en route de la deuxième bobine par la bouton RAZ.

Or le bout a l’air plutôt en laiton vissé (pas aimanté et pas de trace d’un aimant (câble coupé). Dans le schéma ci-dessous que j’ai trouvé, on dirait qu’il y a quelque chose au bout (aimant). Fais-je erreur ? Si non y a -t-il une possibilité de remédier à cela ?

Merci d’avance, Nicolas
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Bonjour,
N’est ce pas un simple problème de centre de gravité de la partie mobile, l’indicateur devant rester du coté ou il a été envoyé ? L’horizontalité du tableau serait alors importante.
Il y a peut être aussi une astuce mécanique qui créé des frottements pour que le basculement d’un coté à l’autre soit un peu dur.
Cordialement : jcj

Bonjour,

J’ai lu votre message perso m’invitant à répondre, cependant je n’ai pas beaucoup plus d’idées que Jean-Claude ci-dessus.

Ce tableau annonciateur et prévu pour être fixé verticalement contre un mur et de niveau, un fonctionnement à plat sur une table ne me semble pas possible vu que c’est par basculement de la palette indicatrice en carton que se font les deux positions.

Si les palettes tiennent mécaniquement sans courant dans les deux positions, le tableau fixé au mur, il n’y a pas de raison que cela ne fonctionne pas.

J’ai testé le panneau verticalement, bien axé. Mais même en admettant qu’au repos, les signaux sont masqués (ce qui n’est pas tout à fait le cas)… Au moment de l’alimentation (impulsion) d’une bobine, le signal rouge bascule, mais à l’arrêt de l’impulsion, forcément l’ensemble reprend sa position d’équilibre, donc masqué. Et du coup le RAZ ne servirait à rien si l’aiguille ne restait pas en position signalée. Voilà donc mon dilemme…

Nicolas

Donc soit il y a un problème d’équilibre des palettes indicatrices, soit les armatures mobiles doivent être aimantées et doivenr rester collées de chaque côté au noyau de a bobine après la fin de l’impulsion, je ne vois que cela …

D’accord, je vais tenter de placer un petit morceau d’aimant sur le côté de l’aiguille pour voir le résultat et je vous tiendrai au courant.

Merci à tous !

DSC00032.JPGje me permet de vous envoyer une photo de mon tableau d’appel
mon grand pére était hotelier dans les Hautes Alpes et a ouvert son hotel vers 1900
c’etait le tableau d’appel des chambres le principe a l’air semblable au votre !

Bonjour,

Très beau également ! Avez vous une photo de l’intérieur pour voir le mécanisme avec les bobines et les aiguilles ?

Pour Jean Claude : mon cerveau fatigué vient de connecter sur votre idée pour l’astuce mécanique. En ayant nettoyé, j’aurai pu enlever effectivement une graisse ou un amalgame un peu épais qui bloquait en position gauche ou droite… Effectivement au départ, la partie mécanique des aiguille était plus noire.

Ca demande reflexion sur quel produit mettre…

Bonjour
Peso j’ai déjà vu ce genre d’afficheurs dans mon enfance à la campagne effectivement pour des petits hôtels et aussi dans les grandes maisons de maitres…Il ne me semble pas que l’afficheur ai un mécanisme de maintien C’était une époque où les gens de maison restaient aux cuisines pour lessive, repassage, confection de plats divers…Et quand la sonnette tintinnabulait…ils devaient regarder quel voyant était activé et filaient vite fait prendre les ordres…
Depuis, nous avons inventé les répondeurs robot d’appels…Mais ça fonctionne BEAUCOUP moins bien forcement. :frowning:

De par sa construction visible et les schémas disponible on voit très bien que ces tableaux indicateurs ont un « effet mémoire » et gardent l’indication du nº appelé jusqu’à ce que l’on appuie sur le bouton reset.

Il y a plusieurs types de consruction, soit avec un restet électrique au moyen d’une seconde bobine comme ici, soit avec un reset mécanique par un système de tringleries.

Bonjour
c’est vrai que j’aurai du penser a faire une photo de l’interieur de mon tableau !ce sera fait dans une quinzaine de jours
Cordialement

Voici l’explication qui est donnée au sujet des tableaux indicateurs par H de Graffigny dans le livre « L’'Élecricité à la maison » publié chez Larousse :

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On voit donc clairement selon la description que les aiguilles des voyants doivent êtres aimantées, qu’elles perdent leur aimantation avec le temps, ce qui fait que selon la description ce genre de tableaux indicateur et délicat et sujet à dérangements dans le temps du fait même que les aiguilles perdent leur aimantation.

Bonjour,
Dans le film de Bunnel que l’on a vu ces jours ci " Journal d’une femme de chambre" on voit une scene dans laquelle cet instrument est utlisé
Le systeme fonctionne par impulsion , appel memorisé, et est acquité à la base par un bouton pousoir
Ce qui est traduit par mon schema en logique cablée
Bonne journée et bonne vision de ce film culte
Sylvain

bonjour

réalisé par Luis Buñuel :slight_smile:

Et oui,
le clavier américain que j’utilise rend pardonnable la faute d’accent mais pas cette double consonne.
Merci et toujours content de savoir des personnes intéressées par « Le charme discret de la bourgeoisie » etc
Bonne journée
Sylvain