Sur un lecteur basique, le télétexte enregistré sur un disque pour les sous-titres passe parfaitement.
Sur un lecteur haut de gamme, ça passe mal, a priori à cause des « améliorations ».
Et sur le même haut de gamme en activant les circuits « HQ Control », c’est encore pire : pleins d’artefacts
Il y a 30 ans, quand le CSA a autorisé le TXT CEEFAX sur la TV Française, le gros problème était la lenteur des pages et des sous titres, sur TF1, F2 et FR3, à cause de l’ obligation de signaux ANTIOPE DIDON, et les " bouteilles " sur le VBI
C ‹ est en 1996, que la 5 eme, ainsi que ARTE ont envoyé le TXT et les sous titres de manière optimale, dans le VBI, entrainant la fin des signaux d › identif trame sur leurs VBI
Le 01/01/1994, les signaux ANTIOPE DIDON disparaissaient des VBI de TF1, F2, et FR3 analogique. Ils ont continué sur les VBI de C+ analogique, jusqu’ à la fin des années 90.
2005, fin de l’ obligation des signaux d’ identification trame sur les VBI de TF1, F2, et FR3, ainsi que sur M6. Seuls les décrochages régionaux de FR3 et de M6 avaient, encore les signaux d’ identif Trame, jusqu’ à la fin de l’ analogique en 2011.
la solution de melange des " bouteilles " avec les résidus de TXT sur certaines chaines PAL transcodées en SECAM, n’ a pas été idéale( caractères TXT erronés sur l’ écran, et mauvais fonctionnement du portier et de la remise à l’ heure, sur un circuit SECAM d’ un TV de 1976 fabriqué par la RADIOTECHNIQUE)
Oui j’avais trouvé ce document en voulant chercher des informations sur antiope,
il décrit les 4 systèmes de télétexte concurrents, au moyen de 4 lettres (A, B, C et D) dans chaque colonne des tableaux du document :
L’avantage d’Antiope par rapport à Ceefax est qu’il était indépendant du système de transmission alors que Ceefax est intimement lié au retour trame d’un signal de télévision.
Ceci permettait beaucoup plus de souplesse à Antiope, notamment ce qu’on appelait les « attributs parallèles » qui permettaient entre autres de changer la couleur d’un caractère à l’intérieur d’un mot (sans espace) alors qu’en Ceefax l’attribut de couleur (ou d’autre chose) est un caractère non visible qui se manifeste sous la forme d’un espace.
Antiope permettait aussi les jeux de caractères redéfinissables dynamiquement (DRCS), ce que ne permettait pas Ceefax.
Mais ces possibilités n’avaient pas grand intérêt pour du télétexte ou des sous-titres car elles se payaient par une plus grande complexité du décodeur, d’où l’échec d’Antiope en utilisation télétexte grand public.
Par contre en Videotex interactif (Minitel par exemple) elles étaient totalement justifiées.
Bonjour, les Américains avaient-ils du teletexte ?
Je connais bien par contre le procédé de sous-titrage Close Caption, j’avais un décodeur Close Caption pour mes Laserdiscs NTSC afin de mieux comprendre l’anglais et progresser.
Non, les américains n’ont pas vraiment utilisé le Télétexte en pratique en dehors d’essais.
Les deux systèmes européens (Antiope avec le NABTS et Ceefax) ont été adaptés au standard américain mais cela n’a pas eu de succès aux USA.
Du fait de la moindre bande passante la page de télétexte avait moins de carctères par ligne (32 au lieu de 40 je crois) et moins de rangées du fait du moindre nombre de lignes (20 au lieu de 24) ce qui rendait le système moins attractif.