Effectivement, je n’ai pas assez fait attention aux polarités des synchros.
Le schéma est plutôt capillotracté car il utilise la résistance R12 comme résistance de tirage au plus du fait que la synchro horizontale est de polarité négative. Le prix à payer est la superposition d’une composante continue sur le signal vidéo afin que les tops négatifs de la synchro composite puissent exister.
Cela fonctionne, mais utiliser un des signaux comme source de tension est des plus aléatoire. Le schéma que je proposais assure une meilleure reproductibilité et surtout un fonctionnement identique quelque soit la polarité des signaux de synchronisation grâce à l’ajout du boitier 74HC86 (microelec.patricklecoq.fr/mo … erter.html).
Autre problème, une des résistances de la matrice RGB n’a pas la bonne valeur. Pour obtenir le plus précisément possible la relation Y = 0,299R + 0,587G + 0,114B, hé bien la résistance R4 devrait avoir une valeur de 43 ohms au lieu de 27. Cette valeur plus élevée nécessite de câbler une résistance entre son point chaud et la masse pour ramener l’impédance d’entrée du canal vert à 75 ohms, valeur 360 ohms série E24 ou bien à la rigueur 330 ou 390 ohms série E12. Dans le même esprit, la valeur de la résistance R7 sera plus optimale si on la remplace par une 110 ohms de la série E24.
Les régulateurs 7xL05 en boitier TO92 sont préférables à une régulation par diode zener. Avec une intensité maximale de 100 mA, ils sont largement suffisants pour alimenter un AOP qui n’en consomme que 16.