realisation de circuit

Bonjour,

Une autre méthode de transfert direct de toner sur le cuivre que je n’ai pas testé : Le mélange ALCOOL ISOPROPYLIQUE 99.5% (ou ISOPROPANOL) + ACÉTONE

Voir cette vidéo pour les détails : https://www.youtube.com/watch?v=HBIxvwZ_0og.

Il existe plusieurs vidéos sur le sujet . Faire une recherche avec ces mots clé par exemple : heatless pcb direct transfert

Problème : Où se procurer de l’Isopropanol? :mrgreen:

NB : (On en trouve chez Conrad sous forme de spray…)

Bonjour.

Et pourquoi pas enlever de cuivre à la fraiseuse CNC? Et en plus c’est la période des cadeaux!
Le petit (12,6 × 11,2 cm) et le grand (22,6 × 22,2 cm) modèle sont proposés actuellement pour respectivement un peu moins de 159 et de 193 euro, frais de port compris.

s-l1600[1].jpg

— C’est aussi ce que je propose de faire avec la “dremel sensitive” “à la main” quand j’aurai fini le bâti de perceuse sensitive cité dans le post “Support pour Dremel” sur ce fil ou sur “Causerie sans-filiste”, avec une vis pour caler la fraise (d’anciennes fraises de dentiste !) à la bonne hauteur ! Il conviendra aussi d’enlever “un centipoil” du substrat de verre époxy ou de papier bakélisé si on veut éviter les court-circuits !
— La fraiseuse CNC “du pauvre”, ça existe aussi !
— Cordialement !

Comme l’initiateur du sujet ne répond pas, j’ai l’impression qu’on propose des solutions dans le vide.
Si on analyse sa demande, on peut penser qu’il cherche une aide physique pour réaliser ses circuits.

bonjour,
peut etre, néanmoins il y a des informations qui peuvent servir à tous : la régénération du fecl3 par electrolyse : je n’avais jamais vu cette astuce en 20 ans de surf internet, la cnc à moins de 200 € : il manque les détails : software, cnc chinoise en kit ?
j’ai aussi commencé par du mecanorma/alfac, avant de passer à eagle en 1994 : dessin>typon>insolation>gravure etc…, je ne passerai à la cnc que si je peux faire « moncircuit.brd » > export direct sur la cnc, exactement comme quand j’imprime mon typon, toutes les étapes intermédiaires sont trop aléatoires
pour l’alcool isopropylique : pharmacie ou « vraie » droguerie, quand je pense que j’utilisais un bidon de 5 litres par semaine chez thales aerospace…

Bonjour à tous,

Le recyclage du fecl3 est une bonne astuce mais il est tellement simple de fabriquer ce produit que le recyclage n’en vaut pas la peine.
Il est plus important de le passiver avant de s’en débarrasser.

— Hé bien tu vois : tu as appris là quelque chose de très utile ! Ça fait plusieurs années que je le pratique et j’ai mon bac à perchlo depuis plus de 10 ans dans un bac à glace de 1 litre !
— Justement, je crois que je l’avais appris par Internet, au temps du modem 56k… Ça remonte et ça ne nous rajeunit pas !

— Justement : avec quoi tu le passives ? Mais plutôt que de jeter à tout va… 'vaut mieux recycler, non !?… C’est la “grande mode”, en ce moment !
— Cordialement !

Il existe dans le commerce des kits pour neutraliser le perchlorure.
Généralement, ces kits coûtent la peau des yeux. :mrgreen:

kit neutralisation.jpg
Mais Il suffit d’ailleurs de lire la fiche de données de sécurité du produit pour connaître sa composition. :wink:

fiche sécurité CIF.jpg

C’est de la soude caustique… :laughing:

Alors, évidemment, pour se donner bonne conscience et justifier le prix exorbitant de leur produit, les fabricants ajoutent quelques accessoires, lunettes, gants jetables, bandelettes de papier ph, etc.

C’est ici sur eBay, item 292173149978

— Et la soude caustique, ça sert, à raison de 6 à 7g/l de révélateur pour circuits présensibilisés positifs ! On peut aussi bien utiliser du “destop” à diluer dans de l’eau !
— Donc, les deux produits pris isoléments serviront bien mieux si on recycle le perchlo par électrolyse et aussi qu’on jette le révélateur usagé dans l’évier pour décrasser les tuyaux !!!
— Et comme, si on utilie la méthode de tranfert de toner pour imprimer le circuit sur le cuivre, on n’utilise pas de révélateur et qu’en plus, on puisse utiliser des plaques non présensibilisées, le recyclage du perchlo par électrolyse garde “tout son charme” !
— Mais… n’existe-t-il pas des imprimantes (à jet d’encre ou laser) qui permettent d’imprimer sur des supports RIGIDES (en les gardant à plat) ?
— @ Raffou : pareil, c’est pô pour moi, ça :cry: :

Sympa la CNC surtout celle en 22.6cm x 22.2cm à 191,77€ frais de port inclus.
Par contre, j’ai des frayeurs avec les frais de douane.
Ça risque de faire grimper le prix à 250€ et ça deviendrait nettement moins avantageux.
Mais ce ne sera pas pour le moment, je viens de casser ma tirelire avec un nouvel ordinateur et les cadeaux de Noël pour madame et fifille… :mrgreen:

c est formidable ces kits pas tres cher …
mais comment ça se pilote ?

le fecl3 usé je l’ai toujours jeté dans la riviere…
il est utilisé dans les stations de dépuration d’eau !!! donc 1 litre de fecl3/an dans des milions de m3 d’eau, çà ne doit pas polluer quoi que ce soit

— Toi, elektrax, tu peux en acheter tant que tu veux, du perchlo. Mais moi qui habite à l’île de la Réunion, tout ce que j’ai, je l’ai gardé quand j’ai déménagé de la métropole vers cette île, en 1986. Or, je ne crois pas que les fournisseurs d’électronique de cette île en proposent, sinon à des prix tels qu’on croirait qu’ils y ont mis des pépites d’or ou des diamants dedans, tellement c’est cher !
— En plus, j’ai appris que sur ce forum, à cette page, l’utilisation d’une anode en FER pourrait éviter ce dégagement gazeux ! Ce que je vais tester prochainement, tiens…
— Cordialement.

Bonjour à tous,
Fabrication de perchlorure à la maison :
Formule de base (pour les chimistes) : 2fe + 3H2O2 + 6HCL >> 2fe(cl3) + 6H2O
Pour fabriquer 1 litre de perchlorure de fer fe(cl3) il suffit de dissoudre 120g de laine d’acier dans 50cl d’acide chlorhydrique.
Laisser agir 24h et filtrer le liquide obtenu. On obtient du chlorure de fer fe(cl2).

Ensuite ajouter l’eau oxygénée par petites quantités avec précaution. La réaction est très violente et fortement exothermique.

Faire toutes ces manipulations à l’extérieur en n’oubliez pas les lunettes et les gants

NB: Il y a des années que je n’ai pas fabriqué de perchlorure, les quantités seront à adapter selon les résultats et la concentration des produits que vous utiliserez.

— Tiens, tiens !?… À part le fer, la formule rappelle “furieusement” la méthode de gravage à l’eau oxygénée et acide chlorhydrique exposée ici :
https://www.bidouille.org/elec/gravure !
— Le fer ralentit et stabilise la réaction !
>>> À PROPOS DU TRANSFERT DE TONER <<<
— J’ai appris qu’on pouvait transférer le toner sur le cuivre avec une plastifieuse à documents !
— Alors, avec ce modèle de plastifieuse que je possède (mais pas achetée à ce prix-là et, en plus, avec une position “froid” !), j’ai testé avec des CDs pour voir l’épaisseur qu’on pouvait passer dedans. J’essaie (en position froid !) avec 1 CD : passe “au poil” ! Avec 2 CDs, passe aussi “ au poil” ! Et comme un CD fait à peu près 1mm d’épaisseur, les circuits imprimés de 1,5 mm passeront aussi bien ! Voir si on peut s’en servir aussi pour le fameux film bleu, tiens…………
— Si ça peut vous donner des idées… Cordialement !

Bonjour,
Effectivement, il y a des similitudes mais dans le cas HCL + H2O2, la solution n’est pas pérenne et se dégrade rapidement à contrario du perchlorure.
C’est pourquoi il faut en refaire à chaque fois par petites quantités.

— En tous cas, pour ma solution de réutiliser des circuits imprimés à trous métallisés en en ôtant toutes les pistes et en n’en gardant que les trous, j’ai mis au point une procédure !
— Tout d’abors, une idée du circuit avec TCI :
324pwm-v2-layout_1x_x2.jpg
— Un autre circuit que je compte installer sur la même plaquette :
Alim prérégulation.jpg
— Ensuite, on l’adapte sur ce morceau de plaquette, dont on a “tiré le portrait” avec son APN habituel :
Base-CI-2.jpg
— Ensuite, avec son logiciel de dessin préféré, sur la photo de la plaquette, on ajoute des calques transparents et un fond blanc :
BaseCI-capture.jpg
(Remarquez la pile de calques à gauche : il en faut au moins un pour les pastilles, un pour les pistes, un pour les composants et un pour le texte, sans oublier le fond blanc !)
*** Suite —>

*** —> Suite :
— On commence donc par renommer un des calques “pastilles” et on dessine chaque pastille sur ce calque. Même les “vias” sont recopiés car plusieurs peuvent resservir :
Pastilles.jpg
— Ensuite, en cliquant sur l’œil à gauche de la pile des calques, on fait “disparaître” le calque portant la photo du circuit. On a ainsi les pastilles sur un fond blanc :
Pastilles-fond blanc.jpg
— Sur un autre calque, qu’on nomme “composants”, on dessine tous les composants :
Composants.jpg
— Certains composants vont nécessiter le perçage de nouveaux trous. Alors, sur un nouveau calque qu’on nomme “pistes”, on dessine les pistes et les trous supplémentaires (en rouge, mais plus fins que le autres ou repérés par un “x”) :
Pistes.jpg
*** Suite —>

*** —> Suite :
— Avec le calque “composants” visible :
Presque complet.jpg
— Et enfin, sur le dernier calque, qu’on nommera “Texte”, on note toutes les valeurs de composants. Avec GIMP, chaque texte fait l’objet d’un petit calque séparé qu’on glisse à l’intérieur ou près du symbole du composant (après l’avoir préalablement orienté, si besoin) et, en “masquant” les autres calques, sauf le calque “Texte”, on fusionne les calques visibles :
Complet.jpg
— Et si vous voulez savoir à quoi ressemblera votre circuit terminé :
Avec la plaquette.jpg
— Si ça vous dit, à vos fers à souder, rompez !
— P.S. : le circuit du bas comporte 3 straps, celui plus haut, aucun. Pour les faire, il suffit de percer deux trous et de “coudre” le fil autosoudable en passant par la face composants !
— Cordialement !