Alim variable 0/25 V disjonction 30mA/4Amp ajustable

bonjour

j’en ai déjà vu mais ou ?

il me semble sur des pupitres de Control la partie affichage numérique et visible de plus loin .

mais sur le net pas vu .

il et vrai que l’on peut en fabriquer et même mettre par exemple un galva en ampèremètre et a intérieure un module en voltmètre ou le contraire enfin bon.

cordialement

laurent

Voici la version 2 de ce montage d’alim analogique a régulation série en cours de modifications.
Celle ci est plus puissante…(env 7 à 8 Ampères)
Je n’ai conservé que le boîtier. Le transfo n’etait pas assez puissant. Je l’ai remplacé.

Ici comme le feu poinçonneur des lilas, on fait des trous, plein de trous car il faut des voyants de supervision, mais aussi des sorties différentes. Comme j’ai un peu plus de place, j’ai tout mit sur la face avant c’est plus pratique que d’aller brancher des sondes de température de charge et la sortie pulsée derrière où il y a souvent peu de place pour passer la main.

Comme cette alim avait déjà pas mal de commandes disposées dissymétriquement un peu au hasard de sa longue vie…L’esthetique laissera à désirer. Pas le temps de refaire une face avant pour cacher la misère
ALIMV2_1.jpg
On distingue le voltmètre mixte avec deux digits après la virgule car cette alim est plutôt précise .

Ici c’est l’arrière avant pose du ventilateur. Juste deux gros transistors solides (PNP) un IGBT et UN TIP41 pour gérer la vitesse du ventilateur en fonction de la chaleur dissipée si forte charge. au centre sous l"axe du ventilateur donc peu de turbulences la CTN de 47 a 50K a 20°C
D’origine la plaque d’alu était assez fine mais 4 transistors PNP germanium…(Pour 4amp.)
Là il n’y en a que deux, mais j’ai ajouté des dissipateurs plus sérieux.
ALIMV2_2.jpg

Bientôt le résultat.
Le disjoncteur reste semblable de 25 mA à 10 ampères

bonjour
voici une photo de l’alimentation fait avec l’aide de Roger33 est Jean Paul pour la sérigraphie du potentiomètre de réglage du disjoncteur

cordialement

laurent

— Bonjour.
— Une fois, j’avais “souvenance” d’avoir vu un internaute parler de modifier une alim de PC ATX (gratuites car déchetterie !) en alim VARIABLE (alors qu’elles donnent en général des tensions fixes !)…
—Puis, en “sniffant” sur Google, je tombe sur :
electronique.libre.free.fr/index … labo-200w/
, où le gars explique “en long, en large et en travers” coment modifier une alim de PC pour en faire une alim variable !
— Allez-y, ça vaut le détour ! Il y a même un peu de la “perruque” de Roger 33 dans ce montage, tellement il y a de fils !
— Cordialement.

bonjour Hervé

je ne voie pas le rapport entre construire une alim de A à Z et de bidouiller une alim de pc .

cordialement

laurent

— Question de rendement, tiens ! Une alim ordinaire a un rendement déplorable quand tu “chutes” 35 V pour en faire du 3,3 V ! Tandis qu’avec une alim’ à découpage comme celle décrite sur le site idoine, tu te retrouves à 95% de rendement ! C’est peut-être moins précis (Est-ce qu’on “pinaille” vraiment à 0,1V près ?), mais ça chauffe beaucoup moins !
— Autre chose : les IGBT sont des couplages MOS-FET/bipolaires. C’est-à-dire qu’on commande la grille d’un MOS-FET par un “petit” bipolaire (NON :blush: : on commande la base d’un puissant NPN ou PNP avec un “petit” MOS-FET !). Comme “faute de grives, on mange des merles”, c’est facile de se les fabriquer avec un couplage de bipolaires/Mos-Fet discret, non !?… À moins que ce ne soit des MOS-FET à commande logique comme on en voit sur cetaines alim’s à découpage (j’ai visionné quelques datasheets à ce sujet !)…
— Pour ce qui est de la commande de la grille d’un MOS-FET avec une paire de transistors bipolaires complémentaires, j’ai vu plus simple : une diode en sens direct pour polariser la gate et un transistor PNP (pour un canal N) pour décharger la capacité de grille, branché émetteur sur la gate et collecteur à la masse. On inverse évidemment le tout pour un canal P.
— Schémas plus tard… Cordialement.

le sujet est construire une alim de A a Z que roger33 a ouvert

quand on a besoin d’une tension de 3.3V ou 5V par exemple on prend une alim de 0-10 V

c’est ce que je voulais dire

toute mes excuses Hervé

cordialement

laurent

— D’où certaines alim’s de laboratoire qui commutent des secondaires de transfos multitensions pour augmenter le rendement à faibles tensions. Mais c’est vrai que ça complique sérieusement le schéma !
— J’avais vu sur Elektor un schéma de ce genre où un gradateur semblable à ceux qui font varier la vitesse des aspirateurs (avec un triac “snubberless”), couplé au transfo d’alimentation et à l’alimentation stabilisée du secondaire, “chuter” l’alimentation du primaire dès qu’on chute la tension au secondaire… Ce serait à étudier, tiens !
— J’avais aussi vu un schéma d’alimentation à découpage au secondaire d’un transfo 30 V (visible ici : silicium628.fr/article_i.php?id=17&cat=) pour “saucissonner” la tension pour que le transistor de ballast travaille en tout ou rien par rapport cyclique variable ! On lisse ensuite la tension avec une self (petite valeur, mais de forte intensité, vu la fréquence de découpage !). En voici le schéma :


— Essaie d’étudier ça de près, Roger33 !?…
— Cordialement.

Bonjour
Et en prime le découpage nous agrémente d’ un générateur surpuissant de parasites divers et variés ce qui est quand même un comble pour une alim de labo !! même plus besoin d’un géné HF , on économise un max :mrgreen:

— Au vu du site cité en référence, pas tant que ça car :

  • Circuit imprimé double face à plan de masse,
  • Boîtier métallique relié à la terre, ainsi que le négatif de sortie !
    — Lis bien l’article du site cité en référence avant de porter un jugement !
    — Cordialement.

bonjour
Vous avez raison , après plusieurs décennies de labo HF et hyper je devrais me documenter :mrgreen:

Allons allons ne soyons pas agressifs… Hervé apporte des idées de réalisations, il ne peut imaginer que pour alimenter des radios ou préampli UHF et SHF ayant des sensibilités inférieures à 0,2 µVolts/m il faut…Rester absolument en linéaire car blindage ou pas, le moindre truc qui dépasse du circuit de ces alims font magnifique antenne qui rayonne « en série de Fourrier » à l’infini, donc poubelle. :frowning: même si c’est un piste de masse passant à coté…De la masse d’un châssis…c’est TRÈS vicieux.

Cela me rappelle les PTT au labo des homologations de Villejuif, ils voulaient me refuser un émetteur VHF qui soit-disant faisait du bruit. Moi je n’avais pas les moyens technique de mesurer cela sur l’émetteur (eux ils sont riches et possèdent des récepteurs sélectif de course qui coûtent un bras pour tester tout cela) mais je l’avais mesuré … Sur le récepteur de ma fabrication qui allait avec… Et les DEUX dans la chaîne passaient facilement le niveau de signal rapport sur bruit imposé par cette fichu norme CEPT machin chose…

Le boss du labo me dit "y a du 150 Hz! Et même avec notre "super filtre physiologique " ça passe pas Monsieur. Je répond « pas chez moi y en a pas du 150 Hz et de toute façon j’aime pas le 150 Hz! Na. »

Je lui demande c’est quoi votre alim? - Une alim americaine HP à decoupage super chouette toute neuve new génération! Elle est impec nous l’avons vérifié bien sur. On ne peut pas réguler mieux!

je dis rien, vais chercher dans mon sac MON alim (qui doit AUSSI être homologuée au passage) et je lui dit « on va mesurer avec ça »… Bingo, plus de 150 Hz… Ceci pour préciser qu’il faut être TRÈS prudent avec tout ce qui découpe le courant, les tensions, en rondelles de saucisson… Les selfs et autre filtrages masquent les choses MAIS pas tout. Elle sont TRÈS supérieures en temps de réponse et facteur de régulation certes , c’est même indiscutable, cependant y a aussi des graves défauts. J’ai eu du bol ce jour là quand même, mais j’étais jeune et beau …Quand on est jeune on fonce, on a peur de presque rien. Après cela se dégrade…

Ceci précisé, oui, la commande des Mos par cet artifice est intéressant Hervé, de toute façon il ne faut pas voir ces éléments comme des transistors à haute impédance bien qu’appelés MOS mais à haute résistance…Leur capacité d’entrée est TRÈS importante (entre 1000 et 10.000 pF) donc pour ces raisons, on doit les commander sous des impédances très faibles un peu comme des bipolaires, sinon…Ils grillent car la rétention de charge de la capacité de la grille les mets dans un état intermédiaire (ni saturé ni bloqué et la…Chauffe Marcel!
Que dis-je… FOND Marcel . :laughing:

— Oui, Roger ! Pour moi et pour d’autres aussi, ça ne gêne rien une alimentation à découpage car nous ne travaillons pas la HF. Donc, que ce soit une alimentation à découpage ou classique ne change rien au problème (justement pour charger des batteries ou alimenter une miniperceuse, et même tester des (pré)amplis !).
— Mais si tu veux “un peu” de rendement avec une alim’ classique, il te faut rester prudent quant à la tension d’entrée vis-à-vis de la tension de sortie (ne pas dépasser 3 V et même 1 V pour de faibles tensions) !
— Au pire, pour ton alimentation variable, l’idée de piloter le primaire du transfo par un “gradateur” couplé à la commande de tension du secondaire serait peut-être une idée à exploiter, non !?… Mais il faut un gradateur spécial pour couper au zéro de la sinusoïde (dit aussi gradateur à périodes entières) pour éviter ces fameux parasites qui te gâchent la vie en HF ! Mais déjà que ton schéma est assez compliqué comme ça…
— ‹ Faudrait qu ›“un de ces quatre” je retrouve le schéma d’Elektor de cette fameuse alimentation à régulation par le primaire !
— Cordialement.

Oui, en lineaire le plus simùle (si on a de quoi BIEN bobiner est d’utiliser un transfo avec 2 ou 3 prises au secondaire, ainsi le ballast ne chauffe pas beaucoup.

Ceci dit, ma petite alim n’a pas de prise (la première) mais un petit ventilateur à vitesse variable (voir le schéma )
Ben, le ballast, même sour 4 ampères ne chauffe pas exagérement. Par contre le transfo lui, aie aie aie dès fois :laughing:

Mais bon, c’est surtout la réalisation et les gadgets ajoutés qui est plaisant pour moi…
Je n’ai rien modifié dessus depuis sa renaissance …Si, la capa de sortie (470µF) c’était beaucoup trop pour une alim de labo variable, je perdais du temps à ajuster la tension. Pas en montée mais en redescendant bien sur.
Je l’ai virée et mit juste 4,7 µF Pas de changement sur la ronflmette très basse de toute façon si le transfo n’est pas saturé.

La seconde est un peu meilleure, y a double disjonction. la commande du relais de coupure réelle est donc simplifiée, elle s’inspire de toute façon de la première.

J’ai tenté de rebobiner un gros transfo 220V/ 25Volts avec 2 prises, une a 8V l’autre à 15 V et la fin a 30V mais rebobiné à la main, ben cela ne va pas, la bobine est trop épaisse donc j’en suis resté avec un transfo secondaire 28V environ. Avec du fil de 12/10 eme, sans machine j’y suis pas arrivé, cela se chevauche un peu puis de plus en plus et…La cata quoi. Sacré dimanche Grrrr.

Les primaires à triac oui , ca fonctionne aussi mais bonjour les parasites, enfin je crois.

Y a aussi redresseur deux diodes et deux thyristors (au secondaire dans le pont)…ça va pour des chargeurs, pas pour alims de labo en tout cas je n’en ai jamais vu montés avec ces artifices dans cette fonction.

— Il me semble que j’ai une image de la façon de bobiner une self ou un transfo en bobinage à couches isolées, comme dans l’ancien temps, même avec du fil fin (0,3 mm). C’est beaucoup plus facile avec du gros fil de 1 à 1,5 mm !
:bulb: Ah ! Voilà :


— C’est une simple self que j’avais rebobinée pour essais. Les couches sont isolées avec de l’adhésif d’emballage, qui est très fin et convient parfaitement pour ça.
— Ce genre de bobinage est particulièrement résistant et presque indestructible. C’est ainsi que je rebobine mes transfos ! On peut même se permettre, pour des bobinages symétriques, de bobiner deux ou trois fils en main de même diamètre !
— Un jour, il n’y a pas si longtemps, j’avais débobiné le secondaire d’un transfo puis, après réflexion, je l’ai rebobiné à l’identique car il avait 4 secondaires : un en 13 V, un en 36 V à point milieu et un autre à 18 V. Mais je l’ai rebobiné à couches isolées et j’ai “gagné” une ou deux spires en plus avec le même fil !
— Pour “reprendre” sur un autre bobinage (par exemple sur le primaire), il faut un isolant assez dur, genre feuille de rhodoïd ou isolant de bobinage de moteurs électriques. Découpé pile aux dimensions de la carcasse, de manière à entrer “pile poil” dans la largeur, il assure une base saine au secondaire pour repartir presque comme si on partait du fond de la carcasse !
— Ensuite, il faudra prévoir deux ou trois relais avec de l’électronique asservie en tension pour commuter les prises du secondaire en fonction de la tension. Mais tout ça est compliqué et je ne pense pas qu’il faille des tensions aussi basses qu’1,5 V pour alimenter un “transceiver”, non !?…

— Pourquoi n’as-tu pas mis une résistance en parallèle pour décharger ta capa ? Mais si ça fonctionne avec la 4µ7…
— Cordialement !

Merci pour ces petits trucs et astuces Hervé.
Le problème surtout est que lorsqu’on débobine…Le fil de 10 ou 12/10 ème n’est plus vraiment lisse, même en le « lissant » à force chiffon doux pour le rendre bien droit. :frowning: Alors au bout que quelques couches, si on a pas une machine avec guide COSTAUD ben cela ou se chevauche, ou laisse un léger espace très difficile ensuite à rattraper à la main. Ou bien faudrait être à deux. Maintenant je « bosse » seul. Enfin, disons je m’occupe parce que je n’appelle plus cela bosser. :frowning: Bosser c’est gagner du fric, produire… Pas s’occuper.

En tout cas, moi je n’y suis pas arrivé. Résultat: il me manquait 3 volts en fin de bobinage car j’ai dû débobiner pour re-tôler et comme le « retôlage » c’est galère et grande perte de temps, je l’ai refais 2 fois mais pas trois!Grrrr

Pas de relais pour moi car c’est une très vieille alim du début des années 60 …A cette époque épique, le Germanium était encore Roi et nous dansions le Twist à St Tropez. Dick Rivers n’était pas encore tombé sur la tête et rendait folles nos nanas ivres de liberté surveillée sous les accords des guitares des chats sauvages.

Donc JUSTEMENT, pour éviter que ce pauvre germanium ne fonde trop vite, cette alim était munie d’un GROS commutateur double genre Jean Renault mais bien plus gros qui commutait 3 prises doubles.

Ainsi, le ballast ne dissipait que la puissance utile nécessaire suivant la tension de sortie désirée.

Hélas ce transfo a fini par brûler suite à CC des cordons qui traînaient . Mon technicien était désolé et moi aussi. Cependant cela arrive…il y avait bien une disjonction…Mais dans certains cas …Elle ne fonctionnait pas, le relais n’avait pas collé assez vite avant l’écroulement de la tension de sortie!

C’était le début…On y allait à l’économie… Un transistor coûtait 10 à 12 francs… Presque 2 euros! Pas 7 cent d’euro.
On comptait les transistors dans les montages et c’était un luxe quand y en avait 7 pour un récepteur radio magique :laughing:
Une autre époque quoi.

470µF:

J’ai tenté effectivement de monter une résistance en parallèle avec la capa… Si pour les faibles tensions 220 Ohms allait …Sous 25 Volts elle fumait très vite! Avec 4,7 µF ça va, y a pas de pompage et la correction est d’ailleurs plus rapide et ça roule. Cela me satisfait en tout cas
Merci cependant pour tous ces conseils.

— Tiens, à propos, la voilà, la fameuse alimentation Elektor à régulation par le primaire ! Si tu te sens capable de l’expérimenter, tu n’as juste qu’à implanter le circuit en parallèle sur le ballast de sortie et en série sur le primaire !
Alim réglage primaire 2.jpg
— Et si tu as des parasites, tu débranches le tout !
*** :bulb: Si tu tiens vraiment à avoir des amplis op inutilisés ou si tu ne peux pas faire autrement, relie la sortie à l’entré (–) et l’entrée + à la masse ! Ça évite qu’il n’entre en oscillation.
— Cordialement !

Heuuu moi je veux bien …Cependant, utiliser un optocoupleur ç base de DEL pour faire varier le courant dans un transistor…Je n’aurais pas osé vu la linéarité des DEL…Mais bon , s’ils l’ont fait c’est que cela doit fonctionner.
Oui un LM 358 peu parfois osciller si resté en l’air. Jamais eu le cas dans mes perruques mais faut être prudent.
j’essaie de faire simple.

De toute façon je vais m’en servir au moins sur ce chargeur pour contrôler la température de la batterie.
Les Li Ion c’est comme le femmes , en général c’est assez froid, mais allez savoir, dès fois ça s’enflamme grave, donc mieux vaut prévenir que guérir.

— Des fois, comme je dis souvent, “l’électronique, c’est plus capricieux qu’une femme enceinte” :wink: ! Surtout… les “Li-Ionnes” enceintes (gonflées) :laughing: ! Ça “rugit” “sec” (re- :laughing: ) !
— Cordialement !

Bonjour, de passage pour rechercher un autre topic sur les modules « home made » de recharge et surveillance d’accus mis en batterie LI-Ion, je l’ai pas retrouvé encore ici mais suis tombé sur ce topic qui m’a bien fait sourire…2017… 5 ans que cette petite alim me rends bien des services, pour l’instant…
Aucun problème sauf l’afficheur chinois remplacé voici 3 ans. La partie voltmètre indiquait n’importe quoi.
Vu leurs prix, nous n’allons pas nous plaindre bien qu’ils aient augmenté eux aussi
Cordialement.