Tourne disque Philips 604

j’ai retrouvé la doc avec les modifications!
salutations Jean-Luc

Bonjour,

Toujours pour ce SBF3C, une information Philips de 1975 (22GR814) :
22GR814 Philips-Info SBF3C.png

Bonne Journée,
Patrice

Bonsoir,
et ce n’est pas donné
ebay.fr/itm/SBF3C-PHILIPS-x1 … 1258507784

Edit pardon Schoser l’avait trouvé avant

bonjour
déjà à l’époque il n’était pas donné ,je ne me rappelle plus exactement ce devrait être 150 ou 200 FR !
salutations Jean-Luc

Bonjour Jean-Luc,

SBF3c
Cela devait-être en « ANCIENS FRANCS », 150 ou 200 FR ? avant le 1er janvier 1960 !

  • Ne serait-ce pas plutôt 15 ou 20 FR ?

Amicalement,
Patrice

bonjour
j’ai encore la date de la réparation :31-10-85 ,cet électrophone était équipé avec des transistors BD 226 !
il n’y a pas d’erreur ,peut-être que le revendeur exagérait sa marge !en tout cas il est fermé depuis de nombreuses années !je dois encore avoir un ampli de ce type bien sur le SBF3 est mort et je n’ai pas voulu le réparer vu le prix!
après avoir remplacé le SBF3 par le SBF4 les transistors chauffaient j’ai eu de la chance le responsable du SAV avait fait une demande chez Philips et c’est là que j’ai récupéré la modif !
salutations Jean-Luc

Bonjour,
Je pense que ces circuits intégrés SBF3 / SBF4 sont introuvables aujourd’hui.
En effet il s’agit de circuits « custom » fabriqués par RTC Caen pour Philips Audio (usine de Flers qui fabriquait les électrophones bas de gamme Philips dans les années 70).
Je pense que le plus simple est de remplacer ce circuit et les transistors de sortie associés par un circuit intégré moderne (ampli audio avec peu de composants externes).

Bonjour,

Oui mais il faudra aussi faire quelques modifs car le circuit intégré SBF3 fait aussi préampli et correction de fréquence.

Faudrait voir dans la rubrique 'Quoi de 9 à la déchetterie?’ si il n’y a pas des SBF3 cachés à quelque part.

Tx

Les cellules étaient piezo sur ce type d’appareil, il n’y a donc pas besoin de correction RIAA.
Les composants externes en contre-réction du SBF3 étaient là principalement pour assurer la stabilité ce qui n’était pas évident sur ces anciens amplis. Ces problèmes n’existent plus sur les amplis intégrés modernes.
Je pense qu’un TDA1013B pourrait convenir et on pourrait insérer les controles de tonalité (totalement externes au SBF3) entre l’ampli et le préampli.
De plus la commande de volume par tension continue élimine les crachements du potard de volume.
nxp.com/documents/data_sheet/TDA1013B.pdf

Bon courage !

Bonsoir,

Pour cet Appareil, effectivement il est possible de réaliser un Ampli Stéréo à base de circuits intégrés en remplacement de l’original. Il y a le choix…

Mais… Alors, ce n’est plus de la Restauration, juste faire fonctionner un Appareil à tout prix, et cela coûtera plus cher que de le remettre en état d’origine.

C’est mon avis… après, c’est à vous de voir !

Bonne soirée,
Patrice

Je suis d’accord que ce n’est plus vraiment de la restauration, mais à moins de trouver une épave dont l’électronique est en bon état je pense qu’il est impossible de trouver des SBF3 étant donné que ce n’était pas des produits « catalogue » de Philips / RTC.
Quant au prix, je ne pense vraiment pas que le coût des circuits intégrés soit un problème.
On pourrait même utiliser un module d’ampli stéréo de récup.

Bonsoir à tous,

pas de référence Philips donnée, juste un « oui c’est ça », pas de photo de détails, pas plus que d’ensemble :frowning:
Le 604 est équipé de transistors, Patrice a indiqué que certains TD Philips sont équipés avec ce Circuit Intégré, mais ça n’est pas sur le modèle « 604 », de plus Philips indique à minima une variante dans la référence.
Notre ami Jean-François n’a peut-être pas lu les messages, cependant il est passé sur le forum :blush:
Alors, attendons qu’il se manifeste, le TD en question n’est peut-être pas celui de son enfance, certains ont bien une grand-mère qui a été super-équipée ( ou 25 grand-mères ) :laughing:

Désolant,
Patrick

Bonjour,
Marceljack a répondu a Transistorix

Oui mais il faudra aussi faire quelques modifs car le circuit intégré SBF3 fait aussi préampli et correction de fréquence.
Les cellules étaient piezo sur ce type d’appareil, il n’y a donc pas besoin de correction RIAA.
Quand même la gravure de microsillon est atténuée dans les basses. comment une piezzo peut recréer les basses sans correction RIAA.

Patrice

C’est une question ?
(Je n’ai pas vu de point d’interrogation…)

Bonjour,
L’étourdi il a oublié le point interrogation.
Pour moi à l’enregistrement les ingénieurs ont mis un procédé au point pour éviter que la courbe du sillon, trop large dans les fréquences basses, éjecte la pointe de lecture du disque.
Ce procédé est de diminuer l’intensité des basses fréquences et de remonter à la lecture ces fréquences par le système R.I.A.A.
Je vois mal comment une cellule piezzo peut faire office de R.I.A.A. Il faudrait qu’elle interprète les les courbes du sillon basses fréquences et qu’elle les transmette en augmentant l’intensité.
Pour moi une cellule piezzo interprète mal les basses fréquences.
Comment pourrait elle remonter une fréquence qui est atténuée sur le disque ?

Je suis d’accord sur le principe, mais dans la pratique les préamplis RIAA n’étaient utilisés qu’avec des cellules magnétiques, pour faire la correction RIAA mais aussi pour amplifier leur faible niveau de sortie.
Les cellules piezo (dont je ne connais pas la courbe de réponse précise) sortaient un niveau élevé sous haute impédance et ne s’adressaient pas à du matériel Hi Fi, il est possible qu’on se soit contenté d’un simple filtrage RC passe-bas pour compenser (imparfaitement) la correction de gravure.

La cellule piézo (un Z suffit) est en fait un condensateur…

Associée à la résistance d’entrée de l’ampli (de l’ordre du mégaohm) elle constitue le réseau RC de correction dont on a besoin.

On ne sur-amplifie pas les basses fréquences, mais la capacité de la cellule diminue progressivement l’amplitude des fréquences élevées et réalise ainsi une assez bonne approximation de la correction RIAA qui avait justement été conçue à une époque où dominaient les cellules piézo.

Bonjour,

Les amplis HiFi de bas de gamme des années soixantes disposaient généralement d’une commutation PU magnétique/PU piézo. En position « PU magnétique » la sensibilité était élevée (qq. mV), l’impédance d’entrée de 47 K et il y avait une correction RIAA. En position « piézo » la sensibilité était moyenne (de l’ordre de 100 mV), l’impédance d’entrée était élevée (de l’ordre du Mégohm) et la courbe de réponse était linéaire comme celle de l’entrée Tuner. Une cellule piézo est un capteur d’amplitude alors qu’une cellule magnétique est un capteur de vélocité, cette différence permettait de considérer que la cellule piézo elle même, corrigeait très grossièrement la courbe RIAA. Une autre technique (expliquée par Pierrot du 82 dans le message précédent), plus rarement implémentée, consistait à utiliser l’entrée PU magnétique avec sa correction RIAA et à commuter une résistance de faible valeur (qq. centaines d’ohms ??) en parallèle sur la 47 K. La faible résistance résultante constituait, avec la capacité propre de la cellule piézo, un circuit différentiateur qui transformait la cellule piézo en capteur de vitesse comme un PU magnétique. La faible résistance d’entrée réduisait aussi le fort signal d’une cellule piézo afin qu’il soit compatible avec la forte sensibilité de l’entrée magnétique.

Les amplis HI FI haut de gamme n’avait pas d’entrée piézo, leurs concepteurs ne pouvaient même pas imaginer qu’on utilise du matériel aussi médiocre sur leurs amplis.

bonsoir,
je lis avec attention vos réponses.
Par contre je ne comprends pas le fait d’utiliser le terme capteur d’amplitude pour le piézo et vélocité pour la cellule magnétique. De quel rapidité parle t’on ?
Patrice

Le terme « accélération » serait plus approprié que vélocité