Bonsoir à tous,
Bonsoir M.L.,
A force d’inviter les copains, il arrive parfois d’être aussi invités. Je rentre à peine !
Toujours dans la peinture (il faut profiter des beaux jours) et souvent à la plage (dito)…
Merci M.L. pour le site historique de l’Ecole Centrale de TSF, rue de la lune.
Vers la fin des années 60, j’y avais pris des cours privés, afin de perfectionner ma télégraphie (morse),
avec le « redoutable » Monsieur Béchu.
Entre deux coups de pinceau, j’ai sélectionné une 12AU7, une 12AT7 et une 12AX7 que je vais successivement monter sur mon ampli équipé d’un…déphaseur de Schmitt, afin de mesurer la tension alternative de cathode, ainsi que les différentes tensions de sortie, avec 47k dans chaque plaque et une 22k commune de cathode.
Auparavant, j’aurais déterminé la dissymétrie prévisible pour chaque tube, à l’aide de la formule mathématique suivante :
V1/V2 = R1/R2 + R1/R2 x 1/S2.Rk + R1/Rk x 1/µ2
avec : R1 et R2 = résistances de plaques
Rk = résistance commune de cathode
S2 et µ2 = pente et coefficient d’amplification de la seconde triode
A noter que si R1 = R2, V1 sera légèrement différent de V2 (eh ! oui)
Pour s’approcher de l’égalité « parfaite », il faut avoir Rk, S2 et µ2 les plus grands possible.
Et pour obtenir des tensions de sortie égales en valeur absolue, il n’est même pas nécessaire d’avoir deux triodes identiques.
Voir, par exemple, le schéma de l’ampli Radford STA 25, qui utilise une triode/penthode 6U8, comme déphaseur de Schmitt, afin d’obtenir un gain en tension supérieur. Mais, dans ce cas, les impédances de sorties doivent être bien différentes!
A plus tard donc, pour le résultat des mesures (qui ne seront pas au millionième de volt), que Bondivenne devait effectuer avant de…disparaître corps et âme !
Bonne nuit à tous
Jean-Pierre