théorie sur les déviateurs magnétiques

A toutes fins utiles, voici comment je procède pour inclure des images de grandes dimensions (largeur > 700 pixels)

J’utilise : hostingpics.net.

Je soumets 2 fois la même image, la première avec ses dimensions inchangées et en demandant une réduction au format 640×480 pour la seconde :

Une fois les 2 images chargées, je clique sur la ligne « + Montrer lien direct image » :

Je clique sur le bouton « URL » au dessus du cadre pour insérer le jeu de balises dans le message et je copie le premier lien direct, celui qui correspond à l’image originale, dans la balise ouvrante « [url] » en ajoutant le signe « = » :

[url=http://img11.hostingpics.net/pics/166775Cinematronics.png][/url]

Je clique sur le bouton « Img » pour insérer ce nouveau jeu de balises juste devant la balise fermante « [/url] »

[url=http://img11.hostingpics.net/pics/166775Cinematronics.png][img][/img][/url]

Je recopie le deuxième lien direct, celui qui correspond à l’image redimensionnée en 640 × 480, entre la paire de balises « [img][/img] »

[url=http://img11.hostingpics.net/pics/166775Cinematronics.png][img]http://img11.hostingpics.net/pics/667877Cinematronics.png[/img][/url]

Et voici le résultat de cette insertion, il suffit de cliquer sur l’image redimensionnée pour obtenir l’image originale (1720 × 1134) :

A noter le dispositif de linéarisation à diodes/résistances disposé entre la sortie de chaque convertisseur DAC80 et l’entrée de l’amplificateur en courant associé. Ce dispositif équivaut au condensateur de correction en « S » qui est usuellement inséré en série avec le bobinage ligne au niveau du circuit de balayage d’un téléviseur ou d’un moniteur à CRT.

bonsoir à tous

bon effectivement les schémas sont tous à base de bobine + res reliée à la masse pour aller vers un aop (eventuellement en composants discrets) ledit aop ayant un étage de puissance et une alim symétrique

Une alim à découpage pour faire du « moins alim », ce n’est pas la mer à boire …

mais il restait tout de meme d’autres problèmes
1- l’alim HT est à l’origine découpée ET synchronisée sur le balayage ligne
ici, il n’en est plus question, le circuit KA2915 génère donc une freq d’environ 15KHz qui est à mon avis visible
(pointillés sur la dernière photo)

2- en analogique, rien n’est calibrable (et ne parlons pas d’échelle log)

3- la dev vertical pose moins de problème en tant que telle, mais un petit problème de confort : la trace est centrée sur le milieu et non pas sur le bas.
En couplage continu, un signal à zéro (ligne plate) va donc allimenter en continu la bobine à 1.5A.
Surconsommation + eventuel échauffement de la bobine.

j’ai l’air de chipotter, je m’en excuse, mais depuis un mois, j’ai acheté un LCD 240x128 (controleur T6963C)
qui fait disparaitre tous ces problèmes (enfin, si j’arrive à programmer ce controleur !)

Post scriptum: tout n’est pas perdu, car j’y pense: j’ai un viseur CRT (issu d’un camescope)en trop (depuis mon aventure avec le GV200 ici-même dans ce forum)
Un petit tube cathodique complet en fait avec des bobines plus faciles pour expérimenter
je regarderai ça

cordialement

Si j’osais, je te dirais de mettre un aimant . . .
Je sais, il est tard. Je vais me coucher :confused:

Yves.

wow merci raffou je prend note et j’applique au plus tot.

pour le zéro en bas d’écran un aimant permanent en parallèle sur le déviateur et un court-circuit de champs pour le réglage , c’est juste un fer en parallèle sur l’aimant et un entrefer entre l’aimant et la bobine.
comme cela le courant est proportionnel au niveau du signale.
et devient tout positif donc peu être plus simple a gérè en électronique.

je suis impatient de finir la maçonerie …

Puisqu’il est question des déviateurs magnétiques des CRT, il n’est pas inutile de s’intéresser au couplage des bobinages de ces déviateurs puisque chacun est en fait constitué par la connexion en // ou en série de deux enroulements en principe identiques.

Vieux CRT référence A37-554X, marque RTC :

  • Bobinage vertical : 2 enroulements en // :[list][*]Les 2 en // : mesuré 21,7 mH,

  • Chaque enroulement mesuré séparément : 304 mH.
    [/:m][]Bobinage horizontal : 2 enroulements en //, 2 fils pour chaque enroulement :* Les 2 en // : mesuré 1,95 mH,

  • Chaque enroulement mesuré séparément : 3,06 mH et 3,03 mH.
    [/*:m][/list:u]
    Pour le bobinage vertical

  • Lv équivaut à (Lv1 + Mv) // (Lv2 + Mv), Mv étant l’inductance mutuelle entre les deux enroulements.

Lv1 étant mesurée égale à Lv2, on peut écrire : 21,7 = (304 + Mv) ÷ 2 d’où Mv = ?260,6 mH (le signe est négatif)

L’inductance mutuelle Mv est définie telle que Mv = kv (Lv1 × Lv2), kv étant le coefficient de couplage entre les deux enroulements verticaux .

Il en résulte que kv, le coefficient de couplage, est égal à ?260,6 ÷ 304 soit kv = ?0,857 (kv est négatif)

Pour le bobinage horizontal

  • Lh équivaut à (Lh1 + Mh) // (Lh2 + Mh), Mh étant l’inductance mutuelle entre les deux enroulements.

En considérant Lh1 égale à Lh2 avec une moyenne de 3,04 mH, il en résulte : 1,95 = (3,04 + Mh) ÷ 2 d’où Mh = 0,86 mH (signe positif)

Idem avec Mh = kh (Lh1 × Lh2)

Il en résulte que kh, le coefficient de couplage, est égal à 0,86 ÷ 3,04 soit kh = 0,283 (kh est positif)

Premières constatations

  • Les 2 enroulements verticaux sont fortement couplés (|kv| ? 0,9) par contre leur mise en // est telle que leurs flux se contrarient puisque le couplage est négatif. Le coefficient de couplage voisin de 0,9 provient du fait que les spires sont enroulées sur les pièces polaires en ferrite du déviateur.
  • Les 2 enroulements horizontaux sont faiblement couplés (|kv| ? 0,3) cependant leur mise en // est telle que leurs flux s’additionnent puisque le couplage est positif. Le faible coefficient de couplage provient du fait de l’absence de circuit magnétique, les spires sont bobinées entre cuir et chair, entre les pièces polaires du déviateur et le col en verre du CRT.

CRT référence A33LPE02X01, marque EKRANAS (Made in Lithuania) :

  • Bobinage vertical : 2 enroulements en série :[list][*]Les 2 en série : mesuré 26,3 mH,

  • Chaque enroulement mesuré séparément : 112,4 mH et 112,6 mH (moyenne 112,5 mH).
    [/:m][]Bobinage horizontal : 2 enroulements en //, 2 fils pour chaque enroulement :* Les 2 en // : mesuré 2,34 mH,

  • Chaque enroulement mesuré séparément : 3,78 mH et 3,72 mH (moyenne 3,75 mH).
    [/*:m][/list:u]
    Pour le bobinage vertical

  • Lv équivaut à Lv1 + Mv + Lv2 + Mv soit Lv1 + Lv2 + (2 × Mv)

On peut écrire : 26,3 = 112,4 + 112,6 + (2 × Mv) d’où Mv = ?99,35 mH (le signe est négatif)

En substituant à Lv1 × Lv2) la moyenne algébrique des deux valeurs, soit 112,5, on peut écrire kv = ?99,35 ÷ 112,5 soit kv = ?0,883 (kv est aussi négatif)

Pour le bobinage horizontal

  • Lh équivaut à (Lh1 + Mh) // (Lh2 + Mh)

En considérant Lh1 identique à Lh2 avec une moyenne de 3,75 mH, il en résulte : 2,34 = (3,75 + Mh) ÷ 2 d’où Mh = 0,93 mH (signe positif)

Idem avec Mh = kh (Lh1 × Lh2)

Il en résulte que kh, le coefficient de couplage, est égal à 0,93 ÷ 2,34 soit kh = 0,397 (kh est positif)

Constatations
La connexion en série des bobinages verticaux ne change rien à leur couplage, le coefficient voisin de 0,9 est toujours négatif, leurs flux se contrarient.
Les bobinages horizontaux sont couplés avec un coefficient moins lâche que le CRT précédent puisque voisin de 0,4, leurs flux s’additionnent aussi.

CRT référence A42-592X1620, marque PHILIPS :

  • Bobinage vertical : 2 enroulements en // :[list][*]Les 2 en // : mesuré 28,9 mH,

  • Chaque enroulement mesuré séparément : 246 mH pour les deux.
    [/:m][]Bobinage horizontal : 2 enroulements en //, 3 fils pour chaque enroulement :* Les 2 en // : mesuré 1,73 mH

  • Chaque enroulement mesuré séparément : 2,76 mH et 2,72 mH (moyenne 2,74 mH).
    [/*:m][/list:u]
    Pour le bobinage vertical

  • Lv équivaut à Lv équivaut à (Lv1 + Mv) // (Lv2 + Mv)

Lv1 étant mesurée égale à Lv2, on peut écrire : 28,9 = (246 + Mv) ÷ 2 d’où Mv = ?188,2 mH (le signe est négatif)

L’ on a kv = ?188,2 ÷ 246 soit kv = ?0,765 (kv est aussi négatif)

Pour le bobinage horizontal

  • Lh équivaut à (Lh1 + Mh) // (Lh2 + Mh)

En considérant Lh1 identique à Lh2 avec une moyenne de 2,74 mH, il en résulte : 1,73 = (2,74 + Mh) ÷ 2 d’où Mh = 0,72 mH (signe positif)

Idem avec Mh = kh (Lh1 × Lh2)

Il en résulte que kh, le coefficient de couplage, est égal à 0,72 ÷ 2,74 soit kh = 0,263 (kh est positif)

Constatations
Le couplage en // des bobinages verticaux quoique plus faible que les deux précédents est toujours important avec un coefficient négatif de 0,765, leurs flux sont ici aussi antagonistes.
Les bobinages horizontaux sont couplés avec un coefficient plutôt faible avec 0,26, il est néanmoins positif donc leurs flux s’additionnent aussi.

CRT référence 370HEB22, marque TOSHIBA :

  • Bobinage vertical : 2 enroulements en série :[list][*]Les 2 en série : mesuré 28,1 mH,
  • Chaque enroulement mesuré séparément : ???
    [/:m][]Bobinage horizontal : 2 enroulements en //, 2 fils pour chaque enroulement :* Les 2 en // : mesuré 1,9 mH
  • Chaque enroulement mesuré séparément : ???
    [/*:m][/list:u]

merci raffou,je ne vais pas jusque là dans la connaissance.
ce qui m’explique mieux le pourquoi du résultat de ma recherche expérimentale. à taton avec l’alimentation.

ce qui me dit aussi que je risque d’avoir du mal à faire un zéro en bas a gauche avec juste des aimants sur les férites.
quoique si je place l’axe résultant à 45°
et puis peut être aussi intéressant de rebobiner l’axe vertical pour avoir un cohérence de tension sur les amplis entre horizontal et vertical.
sait tu pourquoi les flux contradictoire. c’est pour modifier le rayonnement du champ?
car l’effet sur le faisceau d’électron n’est pas évident à concevoir pour avoir une déviation à peu près linéaire sur la dalle rectangle et plate.
là aussi je cherche , à taton car je vais me relancer dans la fabrication de tube à vide pour des fonction spéciale en mesure;
Et j’avoue que je suis autodidacte en la matière et que la matière en ma possession est bien maigre.
saurait tu m’orienter sur des ouvrages où une source de connaissance à ce sujet, Google ne m’a rien dit

merci

Bonsoir, je commence donc avec le tube cathodique le plus petit que j’ai trouvé :

jmespe.free.fr/electro/realisati … page2.html

c’est un viseur de camescope les premières mesures sont encourageantes…

maintenant, il faut que je câble un peu tout ça,
je vais tenter un controle à base de lm380 pour la 5ohm et le lm386 pour l’autre.

montage à base de resistances 1ohm pour prélever le courant avec alim négative
pour l’alim de l’aop

la suite probablement ce week end

cordialement

Voici l’explication :


Les pièces polaires du déviateur constitue le tore en question sur lequel sont bobinés les deux enroulements du bobinage vertical. Sur ce dessin, les spires des bobinages sont représentés verticalement mais en fait sur un déviateur ces bobinages sont plutôt horizontaux, un au dessus du col du CRT, l’autre en dessous. Les demi-coquilles des pièces polaires se joignant aussi dans le plan horizontal.
Le flux d’électron à l’intérieur du CRT passant à l’intérieur des pièces polaires (donc du tore) se trouve dévié perpendiculairement au champ magnétique horizontal (règle des trois doigts), vers le haut ou vers le bas en fonction du sens du courant dans le bobinage.

Je suppose que vous avez déjà visionné la vidéo de F2FO (paillard.claude.free.fr/), il faut être particulièrement être bien outillé et savoir où approvisionner les matériaux adéquats. Pour ma part mon expérience en la matière remonte fin des années 60 : visite scolaire de l’usine de St Pierre Montlimart. L’érosion du temps ayant fait son oeuvre, seuls subsistent les souvenir les plus marquants comme par exemple le bobinage des grilles cadres avec (EF183 à pente variable) ou sans (EF184 à pente fixe) pas variable…

ha …
il semble que le lm380 ne se laisse pas commander en alim symétrique…
Si je repasse en mono alim avec condo de 2200µ en sortie, il remarche (mais plus d’asservissement possible avec la resistance d’échantillon de courant)
Ce n’est même pas la peine d’essayer avec le lm386 (pas assez de courant et lui non plus n’est pas prévu pour alim symétrique)

Par contre le LM379 (dans le schéma proposé par raffou) a bien un datasheet avec un dessin d’appli typique en alim symétrique.

Donc il faut que je parte chez le marchand de composants !!!

Le mien (distronic) n’a pas de lm379 ; je cherche donc des « cousins » environ 3-5W alim -+5V
je viens de trouver le tda2030 par exemple …

hmm bien sur j’ai pas percuter les autres sont dans l’air celle sont sont sur un circuit magnétique fermé.

pour les outils, j’ai la chance de compter parmi mes amis un souffleur de verre qui a œuvré sur des appareil de laboratoire. il m’avait appris d’ailleurs que sans usinage on peut ajuster des pièces en quartz au centième de millimètre.
pour les bec j’ai déjà du matériel les gaz aussi et les outil il vient avec.
la matière il maitrise.ouf.

c’est pas gagné mais j’aime la précision.
merci raffou pour le débrumage. je suis encore dans le soucis de mur et de mise en place de ma zone de travail. mais c’est sur la table.

mmmm
je farfouille dans mes doc
et sur un SM , je trouve ceci :
TDA7231 dev V.jpg

un tda7231 (cousin du lm380) qui commande la bobine V … via un condo de découplage
avec la res r409 qui mesure le courant et qui renvoie l’info en découplé aussi

voilà qui me sauverait d’une alim négative !!!

bon stop pour ce soir
j’espère avoir un peu de temps demain (bonne fête maman !)

PS à Franck : j’espère que vous prendrez qulques photos pour nous

cordialement

ha !!! c’était ça !!
il faut reboucler mais même la contre réaction doit être découplée (sur le schéma plus haut, le condo C403)

Bref, un lm380 (alim 0 +12V)
un condo de sortie de 2200µ
la bobine reliée à la masse par :
une res de 2.2 (capteur courant)

la tension prélevée à cette res est relié à l’entrée moins du lm380 VIA une res de 1k ET un condo de 10µ

En jaune la rampe d’entrée, en bleu le courant (tension aux bornes de la res de 2.2)
Photo0572.jpg
Photo0573.jpg

Le seul problème est un point noir qui balaye la ligne
Je suppose que le AN… impose un effacement pour le retour trame …

ce n’est pas très visible sur la photo :
Photo0575.jpg

Effectivement, le cas est désespéré avec le LM380, par contre avec le LM386, ce doit être possible car on a accès à plus de connexions à l’intérieur de la puce :

Alimenté en + 12 volts, la tension continue de sortie au repos est égale à la moitié de la tension d’alimentation soit + 6 volts.
Selon les schémas d’application, les entrées ± sont au potentiel de la masse, donc les tensions sur les émetteurs des transistors darlington PNP sont voisines du volt.* Le courant I1 absorbé par l’émetteur du darlington de l’entrée ? est tel que I1 = (12 - 1) ÷ (15 + 15) ? 0,37 mA

  • Le courant I2 absorbé par l’émetteur du darlington de l’entrée + est tel que I2 = (6 - 1) ÷ 15 = ? mA ? 0,33 mA

Alimenté en ± 6 volts, la tension continue de sortie au repos est nulle.
Pour que le courant émetteur du darlington de l’entrée + puisse s’établir, il faut que la tension sur celui-ci soit positive et voisine du volt. La résistance de 15 k? de liaison avec la sortie n’est plus en mesure d’assurer ce courant car la tension de sortie est nulle, Une résistance Rx de tirage au + 6 volts s’avère donc nécessaire (à raccorder entre pattes 1 et 6).* Le courant I1 absorbé par l’émetteur du darlington de l’entrée ? est tel que I1 = (6 - 1) ÷ (15 + 15) ? 0,17 mA.
Pour obtenir un courant émetteur équivalant à celui obtenu avec l’alimentation mono-tension, il est donc nécessaire d’éliminer une des résistances de 15 k?, opération facile à réaliser en reliant les pattes 6 et 7.
Avec ce dernier strap, le courant I1 absorbé par l’émetteur du darlington est alors pratiquement doublé, I1 = (6 - 1) ÷ 15 = ? mA ? 0,33 mA, en tous cas nettement plus proche des 0,37 mA obtenus avec l’alimentation mono-tension.

  • Le courant I3 délivré par la résistance Rx de tirage est égal au courant absorbé par l’émetteur du darlington de l’entrée + majoré du courant I2 dans la résistance de 15 k? dont le sens est maintenant inversé :[list][*]La tension au bornes de la résistance Rx est égale à 6 - 1 soit 5 volts.
  • Le courant courant absorbé par l’émetteur du darlington de l’entrée + doit être équivalant à celui obtenu avec l’alimentation mono-tension, donc le courant de tirage doit être égal à ? + (1 ÷ 15) soit 0,4 mA.

La résistance de tirage est telle que Rx = 5 ÷ 0,4 = 12,5 k? , valeur normalisée proche : 12 k? ou 13 k?.[/*:m][/list:u]

Haha… bonjour jmespe Je vais suivre ce forum car j’ai acheté autrefois à Metro 4 TV portables N/B russes peu chers, (500F je crois) avec schéma et tout pour… Justement réaliser des petits récepteurs panoramiques '(c’était pour faire l’analyse sur site géodésique des sources de perturbations suite à intermodulations dans les récepteurs des relais sans acheter un analyseur de spectre trop coûteux et jamais rentabilisé pour un revendeur-installateur de systèmes relais hertziens.

Je suis parti bille en tête me disant bof , facile il suffit de …Mais je n’y suis jamais arrivé Grrr.

Bon, c’était pas avec un oscillateur YiG bien sur (trop coûteux) mais mon oscillateur variable maison couvrait quand même quasi 3 octaves, donc c’était jouable… Mais voila, j’y pige que dalle en TV et cette fichue déviation magnétique avec extinction du spot de retour etc… m’ a passablement énervé…Ayant plein de travail autre, j’ai laissé tomber lâchement, laissant mes revendeurs se dépatouiller comme ils pouvaient. J’ai juste augmenté le point d’interception de mes récepteurs à 78dB au lieu de 72 (mélangeur en push pull J310 sur tores verre) en VHF ça va à peu près)

Un récepteur panoramique n’a pas besoin de balayer très vite, sinon le temps de montée du détecteur fait que l’amplitude du ou des signaux détectés est faussée. Mais faut quand même quelques pas variables suivant ce qu’on désire observer

Je vais surveiller ce sujet avec passion.

Il est vaste car après le balayage solutionné… Faut les amplis verticaux…Et pas en linéaire (on sort trop vite de l’écran)…Mais en log…Tout en restant le plus simple possible.(j’ai le schéma de mon Anritsu… Même pas en rêve, trop complexe. Hameg a utilisé un truc prévu pour la FM mais sur base scope. Plus facile je pense que pour attaque verticale en magnétique.
Intéressant ce projet en tout cas. Bonne chance.

bonjour raffou,
bonjour roger,

à raffou:
merci pour ces explications, mais
je cherche à sortir de l’alim symétrique (autant que possible)
le lm386 est de toute manière « condamné » pour l’utilisation finale : un tv de 12cm

et en plus, (selon mes derniers essais non publiés encore)
il oscille , et il semble que ce soit la contre réaction (je publie le montage ce soir)

à roger:
l’échelle log: oui j’y ai pensé pour la rampe : elle est générée par pic avec un 4040 puis un réseau R2R 10bits;
en modifiant le temps entre chaque coup d’horloge , je peux m’approcher d’un log pour avoir une échelle log en fréquence

en vertical : je compte utiliser le ne605 ou mc3362 qui ont tous deux un signal rssi log

Pour mes premiers essais (vu que je ne suis pas fort en HF comme vous le savez !) j’ai acheté sur LBC …
un tuner yamaha dont le sm me montre que le circuit démod à une sortie puissance de champ
celui là est meme à pll (lm7001 que je connais) auquel cas, je pourrais programmer des pas de frequence en log…
cordialement

voici donc le schéma :
PTDC0001.JPG

les condos marqués « 9µ » sont des cms céramiques non polarisés mesurés à cette valeur
la res de contre réaction du lm386 n’est pas notée, j’ai fini par mettre un ajustable 150K.
Il y a oscillation, qui diminuent avec cette res pour >100K donc quasi plus de correction
et les 2 courbes ne se suivent plus

Mercredi je vais chez distro prendre un autre lm380 et nous verrons bien …

bon, je suis allé faire mes courses cet après midi,
et j’ai monté le lm380 en lieu et place du lm386 (qui oscillait)

snif : ça oscille toujours …
je vérifie tout et au bout d’une heure, je m’aperçois que j’ai fait une erreur de câblage
(la res de 1k était reliée sur le point haut de la bobine)

du coup j’ai aussi corrigé le schéma qui avait qques divergeances par rapport au datasheet
(le condo est relié après le potar pas avant, modif du filtre de sortie …)

Comme j’ai branché la rampe sur les 2 entrées , je dois voir une jolie diagonale
Photo0587.jpg

Cela se confirme à l’oscillo:
Photo0584-LM380-devV.jpg

Cette bobine là est plus inductive , cela se préssent au début de la courbe (l’ampli semble peiner)

bon il me reste à connecter un module HF avec signal RSSI

PS: j’ai aussi acheté 2 TDA2030 pour passer à une plus grande TV (12CM)

Bonjour jmespe
Bof la HF c’est pas plus difficile que le reste… MAIS faut pratiquer, voila tout.
Moi je suis nul en Ci logique, ça me gonfle autant que les maths.
Bon, j’en utilise comme tout le monde mais contraint et forcé quoi!

Je ne pige pas pour le le Log en horizontal…Normalement, le balayage horizontal est linéraire non?
On balaye de 0 a X MHz ou GHz (rêvons!) on choisi juste 1MHz par carreau ou 10 ou 100 par exemple…

Par contre faut pouvoir réduire l’amplitude du balayage autour de la fréquence à analyser.
En PLL c’est super facile à faire avec un µ processeur bien programmé mais en analogique…Un peu plus délicat je pense.
En analogique on commande le VCO d’une ex PLL de TV direct comme vous l’avez fait pour votre émetteur récalcitrant à la place de la boucle… Puis, AUTOUR de la tension du VCO déterminée par le Pot, on balaye un peu de part et d’autre de la tension en + et - pour voir ce qu’il y a autour de la tension pré réglée.

C’est pas que pour voir les harmoniques un analyseur de spectre et ça, c’est différent Avez vous pensé a un simple unijonction pour faire ce job de balayage? Sa rampe est super linéaire et ça reste simple. Enfin c’est juste une idée comme ça.

Puis pour l’ampli vertical, va falloir des filtres dans la FI (bof, juste un étroit et deux autres plus larges suffisent pour bricolage amateur) ceci avant détection pour pouvoir bien voir tout et propre.
Et déjà, ces ampli FI, faut qu’ils soient log je pense non?, pas lin, sinon la détection va faire les pieds aux murs très vite sur signaux forts. Le petit circuit que je vous ai transmis est très utile pour faire cela, car on peu en refiler sur deux ou trois étages pour avoir entre 70 et 80 Db de dynamique si appliqué sur deux étages MF.
une sortie rssi ne vous donne qu’une tension proportionnelle au champ mais on peut s’en servir pour l’attenuation du gain des amplis effectivement.

Ce circuit c’est ce que j’utilise pour mes petits mesureurs de champ sélectifs en UHF mais ça peut aller dans tout puisque c’est juste une variation du gain de chaque étage par charge de collecteur variable, R étant remplacé par un MosFet docile…Contrôlé en tension, comme une GAG quoi.

Enfin vous verrez bien pas à pas… Sur qu’il faut tenter de faire simple…Mais utilisable.
Bon courage.
Moi je retourne à mes perçages, j’ai 12 circuits à me farcir…Plus de 3000 trous!
Je ne m’écoute pas le poinçonneur des Lilas mais presque Grrr.
Que voulez vous, faut bien faire bouillir la marmite! Surtout quand faut acheter une belle entrecôte à l’os pour midi!

Quand j’aurai un peu de temps, j’vous fabriquerai un petit milliwattmètre pour mesurer votre émetteur et d’autres choses si la HF vous branche un peu. J’ai des vu-mètre dans mes tiroirs qui se languissent de servir à kekchose. Avec deux FET et ces vu-metre on se fait des trucs hyper sensibles pour mesurer n’importe quoi en HF…ou en BF d’ailleurs

Avant, faut que je finisse le dessin de cette alim en plan depuis…3 semaines! Grrr j’vais même plus savoir comment elle fonctionne! :laughing: heureusement, j’ai pris la précaution de faire une mini notice du fonctionnement sinon…Aie aie aie, faut JAMAIS laisser un projet en plan, jamais.
A+

bonsoir roger ,

« Normalement, le balayage horizontal est linéraire non? »

Mais c’est moi qui vous pose la question !
il me semble me souvenir qu’en BTS on relevait les courbes de filtres sur papier log.

mais si c’est en linéaire , ça me va aussi !
de toute manière, une rampe linéaire ne fera pas exactement une fréquence linéaire
(courbe de la varicap + 1/racine de LC )

« Par contre faut pouvoir réduire l’amplitude du balayage autour de la fréquence à analyser »
c’est prévu !

le 4040 génére une rampe de 0 à 5V si on lui donne 1023 coup d’horloge
si on ne lui en donne que 511 ce sera 0 à 2.5V
si on ne lui en donne que 255 ce sera 0 à 1.25V

il suffit juste d’ajouter à cette rampe une tension fixe de 1 à 30V
(mon mini TV N&B fournit une tension varicap de 33V prévue pour le tuner
et il y a aussi la grosse molette « tune » qui est un potar sur cette tension)

pour l’unijonction, je ne connais pas trop
mon pic fait ça très bien et bien sur il peut générer un effacement ligne si besoin
quand à commander une pll il sera très utile aussi !
(bien que la pll soit à mon avis incompatible avec l’affichage sur écran)
« Le petit circuit que je vous ai transmis est … 70 80dB »

euh il va falloir que le re-regarde, mais comment peut il être log ???

Quand à moi ,j’ai prévu du simple au début
-soit des modules de tuner blindé (sat analogique ou rx 2.4G) dont je récupère la tension en patte 7 du sl1461 (pas sur que ce soit log)
-soit un module réalisé par moi : ne605 ou mc3362 (là c’est log)
j’ai vu un montage où l’on peut mettre 2 ne 605 en cascade (le premier en 10.7, le second en 455)
La finalité étant de faire un module à base de ne605+ tuner TV (genre UV316 ) pour couvrir toutes les bandes TV (et meme un êu plus large

bon ce week end : je repasse à la mini TV 12cm
d’abord avec mes 2 lm380 pour voir si le balayage est suffisant (je doute, je parie sur 50% de balayage)
sinon, je fait le montage à base de tda2030
« 3000 trous » ha oui là je vous comprends : le cms a tout de meme ses avantages !!!

voilà c’est tout pour ce soir !
cordialement

Ben oui, MAIS moi mes « séries » c’est 5 à 20 pièces…Incompatible avec les CMS. Pas simple.
je vends des cercueils a deux places…Peu de ventes donc.
Pour mes récepteur et emetteur je ne perce pas, c’est une boite qui me les faits en trous métallisés faut pas pousser. Mais dès que c’est plaque spéciales…je ne peux rentabiliser sans les faire à la main car aucune n’est semblable ou presque.

Là c’est pour radiocommander…Des barrières de passage à niveau de trains à vapeur de loisirs touristiques.
Faut donc de la sécurité a 100% (envoi de commande et réponse du travail fait par l’automate visualisé sur la télécommande…Très peu osent utiliser ces machins, pourtant c’est sur.

C’est une activité marginale de fin de carrière…

Oui, cependant c’est une convention je crois… Pour le balayage horizontal, je pense bien que c’est linéaire genre 1MHz par carreau ou 10 ou plus etc.

Et pourquoi donc? Actuellement TOUS les analyseurs spectraux sont pilotés via des boucles d’asservissement progressives de 0 V au max ou bien autour d’une tension X définie.

Ça peut générer du bruit rendant INUTILISABLE l’appareil car là, on joue sur des mV autour de… Avec en plus un maintient de la tension sur …Une bonne dizaine de volts… 5v par exemple si on analyse du 500Mhz sur un truc qui va de 40 a 950 Mhz.

Mais si on est MALIN, on peut via un ampli Op Cder en Fixe via un dac (certains microcontroleurs possèdent des CAN et des DAC intégrés…Ils sont sur 8 ou 12 bits …12 bits est suffisant pour ce taf) 4096 pas sur 10v…ça roule. Donc la varicap recoit une tension devenue FIXE…Donc peu de bruit…Puis on balaye sur la TOTALITE de l’excursion de tension sur une seconde varicap qui elle fait varier juste un peu autour de la fréquence à analyser. Les sauts de tension ne génèrent que peu de bruit alors si bon filtrage. :wink: Une PLL à vernier quoi

ADRET avait trouvé la combine je pense, leurs génés synthetisés large bande étaient donc bien moins bruyants que les HP et autre. (- 140 DBc a 10Khz de la porteuse je crois me souvenir) Cependant, leurs bidules coutaient un bras! :frowning:
(Un ingénieur ingénieux ça coûte aussi un bras!)

Le Pb c’est qu’il ne faut pas seulement savoir écrire l’ordinogramme, mais savoir aussi programmer…Là moi je suis dépassé et le resterai. J’avais un technicien qui était très fort dans ces machins, il adorait réaliser ces choses.

Ben il l’est… En effet, dès que la tension détectée grimpe, on ouvre le canal du FET donc l’impédance de la charge du collecteur du transistor amplificateur baisse donc la tension HF baisse, si la HF augmente encore, on ouvre encore plus le canal du fet (N dans mon petit montage) la charge collecteur baisse encore…et ainsi de suite…Donc sur deux étages…C’est destroy. N’en attendez pas du log de précision mais c’est suffisant pour un truc simple.

Cependant, si votre sortie Rssi est vraiment log, inutile de se compliquer la vie.

l’unijonction ou PUT en english (pour Transistor Unijonction Programmable) sert de générateur de rampe ou de temporisateur. C’est pratique mais si vous avez assez de broches, une routine c’est pas plus complexe et plus simple pour le calibrage.

Je vous laisse, cet aprem je me suis remis sur mon PBC d’alim :cry: j’ai trop de composants pour tout à plat en simple face, donc facile à câbler, je galère!!!C’est amusant, ça maintient la bête en éveil et au top.
Enfin j’espère.
A+